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Héphaïstos avait sa forge dans un volcan de Lemnos. |
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Nom d'Aphrodite Antheia, la fleurie. |
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Hadès, l'invisible. |
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− | Seignobos, Hist. Grecque |
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− | Dans la religion antique, le foyer avait son culte. |
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Le Dieu se manifestait en flamme éclatante. on lui offrait |
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et de ranimer ce feu sacré, de nourrir & de développer |
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sur l'autel le vin brûlant de la Grèce, l'huile, l'encens, |
sur l'autel le vin brûlant de la Grèce, l'huile, l'encens, |
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la graisse des victimes. Le dieu recevait ces offrandes, |
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les dévorait ; satisfait et radieux, il se dressait sur l'autel |
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− | et il illuminait son adorateur de ses rayons |
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− | Ter flamma ad summum tecti subiecta reluxit. |
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(Géorg. IV. 383-385) |
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− | Chaque ville attendait son salut de ses dieux. Aussi |
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les hommes leur vouaient-ils un culte. Ces dieux étaient |
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+ | avides d'offrandes, on les leur prodiguait... N'oublions pas que |
l'idée d'un culte purement moral... n'est pas très vieille ds l'humanité. |
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Aux âges anciens, le culte consistait à nourrir |
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Version du 6 novembre 2018 à 13:37
Le 7 octobre 1892 (Vendredi)
Chaque canton de la Grèce avait ses dieux qu'on se figurait établis dans le pays. - Ces dieux-là n'étaient guère connus que des habitants du canton où on les adorait. Mais tous les grecs appelaient du même nom qques divinités plus puissantes et plus générales.
Les principaux sanctuaires d'Héra étaient ceux d'Argos et de Samos.
Arès, Dieu de l'ouragan qui vient du nord.
Les Kères, démons de la mort violente.
Héphaïstos avait sa forge dans un volcan de Lemnos.
Maïa nymphe de la pluie.
Hermès portait à la main le cérycée, (xηρυxειον) ou caducée. On l'appelait encore Psychopompe conducteur des âmes.
Nom d'Aphrodite Antheia, la fleurie.
Hadès, l'invisible.
- Seignobos, Hist. Grecque
- Dans la religion antique, le foyer avait son culte. Le Dieu se manifestait en flamme éclatante. on lui offrait des sacrifices ; or, l'essence de tout sacrifice était d'entretenir et de ranimer ce feu sacré, de nourrir & de développer le corps du Dieu. C'est pour cela qu'on lui donnait avant toutes choses le bois ; c'est pour cela qu'ensuite on versait sur l'autel le vin brûlant de la Grèce, l'huile, l'encens, la graisse des victimes. Le dieu recevait ces offrandes, les dévorait ; satisfait et radieux, il se dressait sur l'autel et il illuminait son adorateur de ses rayons :
Ter liquido ardentem perfudit nectare vestam,
Ter flamma ad summum tecti subjecta reluxit.
(Géorg. IV. 383-385)
- Chaque ville attendait son salut de ses dieux. Aussi les hommes leur vouaient-ils un culte. Ces dieux étaient avides d'offrandes, on les leur prodiguait... N'oublions pas que l'idée d'un culte purement moral... n'est pas très vieille ds l'humanité. Aux âges anciens, le culte consistait à nourrir le Dieu... En retour on exigeait de lui des bienfaits et des services. Ainsi, ds l'Iliade, Chrysès dit à son dieu :