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Samedi 23 mai |
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16h Départ Packard pour Comanjilla (10h 1/2 du soir) dans pays très aride, à cactus, avec ses sources à 96 °. |
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Version du 17 octobre 2018 à 15:10
152 mexicains assis. Longs discours. Puis la bataille reprend avec le crépitement de pétards. Déroulement très lent, avec force discours, comme dans toutes ces fêtes populaires (cf Moros y cristianos).
Samedi 23 mai 16h Départ Packard pour Comanjilla (10h 1/2 du soir) dans pays très aride, à cactus, avec ses sources à 96 °. [plan]
24 mai Encarnacion par erreur (fenêtres andalouses, rue étroites à angle droit) dans des collines à larges horizons, bistres ou beiges, avec cactus et ruines de haciendas fortifiées. Guadalajara.
25 Avion à Puerto vallarta. Terrain entouré de cocotiers à huile. Petite ville (?) toute en longueur entre la montagne, la mer, et le rio Cuala où coule un filet d'eau. Pas de jetée , rues étroites à angle droit, mais sans le caractère des fondations plus anciennes (pas de grandes fenêtre andalouses). Hôtel Rosita.
27 Bateau à la "boca de Tomatlan". Petite baie étroite avec une plage séparant la mer d'une petiteslagune d'eau douce. Type classique. avec quelques 'jacales", deux ou trois chiens maigres, un flamboyant des montagnes âpres avec un défrichement à très forte pente. Trois gros poissons sont pris durant 1h 3/4 de trajet.
28 Arrivée de D. Raguenet
29 Excursion à cheval. Nous longeons des plages coupées de rochers et récifs : las Amapas, bordée de cocotiers à huile sauvages. Puis le chemin monte dans la montagne, à travers les bois de palmes denses, avec des échappées sur la mer bleue. Sentier très accidenté à l'intérieur ; un petit rancho au sol pavé de coquilles du petit fruit du cocotier. Un massacre d'arbres et de palmes pour laisser passer la récente ligne téléphonique de Tuito. A nouveau la mer, plus rectiligne à la végétation plus sèche ici, d'arbres aux troncs blancs. qqs. ranchos : la côte est relativement peuplée à cause des fruits du cocotiers sauvages. Les rochers percés et couverts d'oiseaux de "Los Arcos", tout près du rivage. Puis le sentier remonte dans la montagne, sans perdre de vue la mer, terriblement escarpé à travers les palmes vertes : nos chevaux grimpent et descendent comme des chèvres ! Après 4 heures de cheval, nous arrivons en haut des escarpements qui dominent la "boca de Mismaloya". La vue est grandiose : la mer bleue aux fortes vagues pénètre dans la baie un peu plus larges que celle des Tomatlan. La plage retient une lagune verdâtre où gît une épave. Des forêts sévères couvrent les hautes sierras qui barrent l'horizon.Dans le fond quelques ranchos de paille. [plan] . Au dessous de nous passent