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Version du 23 septembre 2018 à 19:35
humain, rient, plaisantent, s'abandonnent. Parmi elles un type de demi-grue, jolie, avec qque chose de fané néanmoins, des cheveux d'une frisure abondante, un peu rebelle, et dorée finement. Le jupon de couleur voyante ; la frileuse autour du buste la coiffe en résille transparente, un peu rejetée en arrière du front.
Renseignement : le moulin et la lande que j'ai vus, comme aussi le phare d'en bas, tout cela c'est le Rouz (Moulin du Rouz... etc...)
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Le Stang-Vihan (fiord St Jean). Venu à bicyclette, ce jeudi 15 mars, avec Edouard. Abons déjeûné sur le revers occidental, le revers boisé, de qques charcuteries, en campagnie de Kabyre. Nous arrivons juste avec la mer, qui monte docuement sous le ciel voilé. Temps exquis, très doux,très pénétrant, avec une lmière rise, pas de soleil. Le mouvement de la mer est délicieux. C'est une pénétration lente, mystérieuse, en silence. Pas de vagues : une oussée contînue, comme d'un beau sang calme, qque chose de recuili aussi, une sorte de piété, de discrétion religieuse. Quelques écumes légères sur la moire glauque, de quelsques frisotis de courant à peine perceptibles, mais qui brillent comme de rapides écailles. Les arbres de cette pente où nous sommes assis sont signuliers : ils ont des physionomies et des contorsions de veiux, des aires de géants songeurs, noués par des arthritismes végétaux extraordinaires. - Jusqu'à ce que l amer soit complètement montée, ait pris pleine possession du Stang, on entend encore le bruit d'eau en cascade du ruisseau qui, ds le let effort dess icèles, a creusé ce avin sinueux, cette faille marine. - cCX'est vraiment ic une des retraites mystérieuses de la mer. Rien d'autre ne vit, alentours