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grande feuille sur les murs qui relient les 4 pilastres en pierre, et asseoir les 3 murs de la seconde fouille sur les maçonneries anciennes, qui me paraissent capable de supporter cette charge.
 
grande feuille sur les murs qui relient les 4 pilastres en pierre, et asseoir les 3 murs de la seconde fouille sur les maçonneries anciennes, qui me paraissent capable de supporter cette charge.
Gêné par la pénurie d'argent, vous auriez songé à conserver le niveau des terres de jardin depuis la bordure sur rue jusque vers le contrefort, et de ce point, marcher en pente jusqu'au mur extérieur du Palais, et à 35 centimètres en contre haut de son grand empâtement du XIe siècle ; mais, ce projet me semble offrir les inconvénients suivants : 1° [toute ?] les eaux de la rampe aboutissant ua mur du palais, viendraient en arroser le pied ; 2° Si pour obvier à cet inconvénient on établissait un contre pente de 2 mètres, partant de ce grand mur, également à la côte de 35, pour former cassis avec la pente partout du contrefort, ce cassis finirait par se combler et les eaux s'agglomèreraient encore contre le mur de la grande salle ; 3° de plus, le coup d'œil de l'observateur placé, soit dans la rue, soit dans le jardin, serait mal impressionné par la pente allant jusqu'au contrefort et par la contre pente aboutissant au grand mur, et l'aspect général de ces superbes constructions serait réellement déprécié, car l'harmonie de leurs nobles soubassements serait complètement rompue, et la conception artistique de l'architecte ne serait pas respectée.
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Gêné par la pénurie d'argent, vous auriez songé à conserver le niveau des terres de jardin depuis la bordure sur rue jusque vers le contrefort, et de ce point, marcher en pente jusqu'au mur extérieur du Palais, et à 35 centimètres en contre haut de son grand empâtement du XIe siècle ; mais, ce projet me semble offrir les inconvénients suivants : 1° [toute ?] les eaux de la rampe aboutissant au mur du palais, viendraient en arroser le pied ; 2° Si pour obvier à cet inconvénient on établissait une contre pente de 2 mètres, partant de ce grand mur, également à la côte de 35, pour former cassis avec la pente partout du contrefort, ce cassis finirait par se combler et les eaux s'agglomèreraient encore contre le mur de la grande salle ; 3° de plus, le coup d'œil de l'observateur placé, soit dans la rue, soit dans le jardin, serait mal impressionné par la pente allant jusqu'au contrefort et par la contre pente aboutissant au grand mur, et l'aspect général de ces superbes constructions serait réellement déprécié, car l'harmonie de leurs nobles soubassements serait complètement rompue, et la conception artistique de l'architecte ne serait pas respectée.
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Vous vous êtes ingénié, dans la grandiose restauration que vous entreprenez de ces précieux monuments, à leur rendre l'aspect qu'en avait conçue leur créateur Guy de Dammartin ; je crois donc qu'il serait désirable que les niveaux de ce jardin soient rétablis tels qu'ils avaient été crées par cet illustre architecte. On pourait je pense arriver à ce résultat, en baissant de 2 mètres tout ce jardin, qui a 40 mètres de longueur, et en lui donnant une pente régulière qui partirait du grand mur, à 35 c. au dessus de son empâtement, et aboutirait au mur de la rue ; on donnerait à cette pente 1 c. par mètre c'est à dire 40 c. de différence entre le point de départ et le point

Version actuelle datée du 27 août 2018 à 13:51

grande feuille sur les murs qui relient les 4 pilastres en pierre, et asseoir les 3 murs de la seconde fouille sur les maçonneries anciennes, qui me paraissent capable de supporter cette charge. Gêné par la pénurie d'argent, vous auriez songé à conserver le niveau des terres de jardin depuis la bordure sur rue jusque vers le contrefort, et de ce point, marcher en pente jusqu'au mur extérieur du Palais, et à 35 centimètres en contre haut de son grand empâtement du XIe siècle ; mais, ce projet me semble offrir les inconvénients suivants : 1° [toute ?] les eaux de la rampe aboutissant au mur du palais, viendraient en arroser le pied ; 2° Si pour obvier à cet inconvénient on établissait une contre pente de 2 mètres, partant de ce grand mur, également à la côte de 35, pour former cassis avec la pente partout du contrefort, ce cassis finirait par se combler et les eaux s'agglomèreraient encore contre le mur de la grande salle ; 3° de plus, le coup d'œil de l'observateur placé, soit dans la rue, soit dans le jardin, serait mal impressionné par la pente allant jusqu'au contrefort et par la contre pente aboutissant au grand mur, et l'aspect général de ces superbes constructions serait réellement déprécié, car l'harmonie de leurs nobles soubassements serait complètement rompue, et la conception artistique de l'architecte ne serait pas respectée. Vous vous êtes ingénié, dans la grandiose restauration que vous entreprenez de ces précieux monuments, à leur rendre l'aspect qu'en avait conçue leur créateur Guy de Dammartin ; je crois donc qu'il serait désirable que les niveaux de ce jardin soient rétablis tels qu'ils avaient été crées par cet illustre architecte. On pourait je pense arriver à ce résultat, en baissant de 2 mètres tout ce jardin, qui a 40 mètres de longueur, et en lui donnant une pente régulière qui partirait du grand mur, à 35 c. au dessus de son empâtement, et aboutirait au mur de la rue ; on donnerait à cette pente 1 c. par mètre c'est à dire 40 c. de différence entre le point de départ et le point