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Mon très Révérend Père,
 
Mon très Révérend Père,
 
Je vous remercie de tout coeur de la peine que vous avez bien voulu prendre pour moi et des rectifications que vous me faites l'amitié de ma signaler. Je me connaissais pas votre Relation des fouilles de la rue Paul Bert ; je m'étais arrêté, dans mes dépouillements des Bulletins des antiquaires, à la fin de l'année 1903, et j'avais totalement oublié ce détail. Il est certain que, sans votre obligeance, je ne vous aurais pas cité, et je n'ai pas besoin de vous dire combien j'en aurais été peiné en le constatant plus tard. Encore une fois, merci !
 
Je vous remercie de tout coeur de la peine que vous avez bien voulu prendre pour moi et des rectifications que vous me faites l'amitié de ma signaler. Je me connaissais pas votre Relation des fouilles de la rue Paul Bert ; je m'étais arrêté, dans mes dépouillements des Bulletins des antiquaires, à la fin de l'année 1903, et j'avais totalement oublié ce détail. Il est certain que, sans votre obligeance, je ne vous aurais pas cité, et je n'ai pas besoin de vous dire combien j'en aurais été peiné en le constatant plus tard. Encore une fois, merci !
Je ne crois pas avoir oublié grand chose de ce qui existe dans les musées lapidaires ; vous pourrez, du reste, en juger par la suite des épreuves. Mais je ne puis me dispenser de tourner[?] les têtes dont je n'ai pas eu connaissance. Elles
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Je ne crois pas avoir oublié grand chose de ce qui existe dans les musées lapidaires ; vous pourrez, du reste, en juger par la suite des épreuves. Mais je ne puis me dispenser de [illisible] les têtes dont je n'ai pas eu connaissance. Elles

Version actuelle datée du 20 août 2018 à 18:03

15 mars 08 Mon très Révérend Père, Je vous remercie de tout coeur de la peine que vous avez bien voulu prendre pour moi et des rectifications que vous me faites l'amitié de ma signaler. Je me connaissais pas votre Relation des fouilles de la rue Paul Bert ; je m'étais arrêté, dans mes dépouillements des Bulletins des antiquaires, à la fin de l'année 1903, et j'avais totalement oublié ce détail. Il est certain que, sans votre obligeance, je ne vous aurais pas cité, et je n'ai pas besoin de vous dire combien j'en aurais été peiné en le constatant plus tard. Encore une fois, merci ! Je ne crois pas avoir oublié grand chose de ce qui existe dans les musées lapidaires ; vous pourrez, du reste, en juger par la suite des épreuves. Mais je ne puis me dispenser de [illisible] les têtes dont je n'ai pas eu connaissance. Elles