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I
 
I
Youan ar Bornic han douz groët
+
Jouan ar Bornic han deuz groët
Ar pez narafe den a-bed,
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Ar pez na rafe den a-bed,
Batinel eul lestr tri estel (gestel) ( à 3 ponts)
+
Batisset eul lestr tri estel (gestel) ( à 3 ponts)
Uy ty he dad, war eur vratel (roc'hel) (chantier)
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Us ty he dad, war eur vratel (roc'hel) (chantier)
Dal ma oe groel al lests gantan,
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Dal ma oe groet al lestr gantan,
 
Hag hen d'an daoulin dirazan,
 
Hag hen d'an daoulin dirazan,

Version du 17 janvier 2017 à 11:37

106 cause de la gwerz ci-après que Pierre Aziou avait pour femme Marie Le Penhuel, fille de Ollivier Le Penhuel et de Anne Phelipe.

Avec ce parchemin, Saliou m'a communiqué la gwerz que voici : " Cette complainte - dit le transcripteur, Pierre de Jarz - a été recueillie en 1836 de la bouche d'une vieille femme d'environ 80 ans, qui elle même me l'avait apprise, dans son enfance, de sa gd-mère déjà très âgée. D'après les souvenirs qui ont été conservés dans les environs de Port-Blanc, notamment en Pellinec, le naufrage dont il est question a dû avoir lieu sous le règne de Louis XIV ou à la fin de celui de Louis XIII. Le Cosquer où habitait Yves Le Bornic est entre le Port-Blanc et le Pallinec, presque sur la côte. Il est dominé par la hauteur de Crec'h an Roue. " Il y a encore dans le pays des Bornic qui passent pour être de la même famille que ceux dont il est question. " Il y a aussi à Bugnelès, village très voisin, une famille du nom de Bihan qui paraît être la traduction bretonne de celui de Petit.

I Jouan ar Bornic han deuz groët Ar pez na rafe den a-bed, Batisset eul lestr tri estel (gestel) ( à 3 ponts) Us ty he dad, war eur vratel (roc'hel) (chantier) Dal ma oe groet al lestr gantan, Hag hen d'an daoulin dirazan,