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Aucune ruine n'est visible sur la photo aérienne au 1/50.000e, en particulier aucune fortification sur les crêtes voisines ni même à Yorola où devait se faire le passage du fleuve. |
Aucune ruine n'est visible sur la photo aérienne au 1/50.000e, en particulier aucune fortification sur les crêtes voisines ni même à Yorola où devait se faire le passage du fleuve. |
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− | La moralité de cette brève excursion |
+ | La moralité de cette brève excursion à Niani - préliminaire à une étude plus sérieuse - |
Version du 8 septembre 2020 à 11:18
L’emplacement de Niani 1 était forcement plus considérable que celui des 2 autres, et a du comprendre, outre celui de Niani 3 et 4, celui de l'actuel village du chef à l'est du Farakoli et devrait s’étendre en particulier là où l'on trouve les principaux tertres à l'est du Farakoli. La limite de ce coté en serait l'emplacement du cimetière présumé.
La ville n'avait qu'une direction pour s’étendre: le long de la vallée du Sankarami et hors la partie d'inondation. L'approvisionnement en eau devait se faire par des puits (il en reste des traces) et aussi à la rivière.
Les villages du Bambala et Faraba devaient être plus gros à cause de la proximité de la capitale et être considères comme une banlieue. D'où la remarque d'Al Omari (1927, p. 60) que la ville avait 1 berid de large (25 km) (par contre il donne autant de largeur, ce qui est bien improbable).
Aucune ruine n'est visible sur la photo aérienne au 1/50.000e, en particulier aucune fortification sur les crêtes voisines ni même à Yorola où devait se faire le passage du fleuve.
La moralité de cette brève excursion à Niani - préliminaire à une étude plus sérieuse -