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N°4 Sur le plan approuvé déjà pour l'exécution du projet ; et un autre terrain portant sur le même plan. N°5 destiné a l'élargissement de la place et de la rue du Pont neuf, ce terrain actuellement couvert de Constructions. Et la ville cede, en contr'échange à la Communauté religieuse : 1° l'emplacement qu'occupe la rue des Jardins, marquée au plan sous le N°1. 2° Un petit terrain triangulaire indiquée sous le N°2. 3° Un autre terrain, indiqué au N°3. Ces deux derniers, dépendant actuellement de la place qu'il s'agit de rectifier.

L'échange est fait aux conditions expliquées dans le traité, notamment sous la Condition de [supporter?] la servitude de rue, constatée par l'existence de la fenêtre du Sieur Vangine qui avait reclamé dans l'enquête.

2° Traité avec Monseigneur l'Evêque de Poitiers et M. le Curé de Ste Radegonde, agissant tous les deux pour la Caisse des prêtres infirmes ; c'est un échange avec Soulte. La ville de Poitiers reçoit de la [dite? dette?] caisse : Le terrain marqué sur le plan par le N°8 derrière l'ancienne maison Gauthier ; 2° Et celui désigné par le N°9, derrière les bâtiments Trichard.

La ville donne en contre échange, la plus grande partie de la Rue des Fours, qui sera supprimée comme inutile, telle que cette partie est décrite par le plan, sous le N°6, sous la seule réserve établie au projet d'échange, la ville renonce encore a une indemnité pour alignement, et s'engage a payer une Soulte de 2000 francs.

3° l'engagement de Trichard resulte d'une lettre qu'il a écrite au Maire, sous la date du 26 Mai 1866 et dont lecture est aussi donnée. Ce propriétaire qui s'est montré fort désinterressé, abandonne la ville la parcelle de terrain marquée par le chiffre 7 sur le plan avec les constructions qu'il porte, sous la seule condition que la ville fera divers sur le N°9 qui lui est abandonné par la caisse des pauvres prêtres infirmes, des constructions absolument semblables.