Différences entre versions de « 7:54:5217 »
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
Chez M. Stavenhagen, extraordinaire collection de pièces préhispaniques. Expressions de visages étonnantes. Un chien couché archaïque au long cou et à la petite tête rappelle exactement Tamayo (celui-ici s'en est-il directement inspiré ou est-ce une rencontre ?) |
Chez M. Stavenhagen, extraordinaire collection de pièces préhispaniques. Expressions de visages étonnantes. Un chien couché archaïque au long cou et à la petite tête rappelle exactement Tamayo (celui-ici s'en est-il directement inspiré ou est-ce une rencontre ?) |
||
Arrivée de M. Herzog, l'alpiniste de l'Anapurna, avec Ichac. L'ambassadeur se voit accorder seulement le passage de 2 personnes sur le terrain d'arrivée, mais une quinzaine forcent les barrages !! "[illisible...."]. ses deux conférences. Dîner ici avec Gérard Philippe...etc. |
Arrivée de M. Herzog, l'alpiniste de l'Anapurna, avec Ichac. L'ambassadeur se voit accorder seulement le passage de 2 personnes sur le terrain d'arrivée, mais une quinzaine forcent les barrages !! "[illisible...."]. ses deux conférences. Dîner ici avec Gérard Philippe...etc. |
||
− | Les banlieux ont ici toujours quelque chose d'inachevé, des maisons "a medio |
+ | Les banlieux ont ici toujours quelque chose d'inachevé, des maisons "a medio Racer". ruiniformes quand il s'agit d'adobes. |
+ | |||
+ | 1-3 mai. |
||
+ | Cuantla. Hôtel San Diego (tel 16) et Espana. |
||
+ | Samedi, dimanche : le marché pittoresque, dans une rue bordée de [illisible] aux enseignes typiques et de petites cuisines où les gens du pays mangent et leurs tacos et enchiladas. Les purs indiens tout en blanc. Puis tous les types intermédiaires à chemises de couleur avec, et quelquefois sans chapeau. Mais on voit déjà ça et là la télévision, qui intrigue les campagnard. |
||
+ | Un pueblo indien de terre sèche. Le pueblo de Tetelzingo dans la plaine sèche avant d'arriver à Cuantla : on remarque à Cuantla ses femmes à rebozos bleu foncé" qui parlent mexicain. |
||
+ | Le village paraît très abandonné, avec ses maisons d'adobes décolorés dans des "corrales" pleins de crottin et débris desséchés. De maigres mulets et bourricots se tiennent immobiles à côté des arbres rabougris, où d'invisibles "Chicharras" de [illisible] culientes poussent par intermittence leurs cris perçants. Six églises ou chapelles s'élèvent ça et là leur masse au dessus des adobes ruiniformes et des branches étiques : mais la |
Version du 31 juillet 2018 à 09:30
150 ter Avec ses rocs abrupt et ses villages dans les huertas qui accrochent les roses ds soleil couchant et les ombres bleues, évoquent presque des paysages de Claude Lorrain... Ici il faudrait étudier au Mexique : Le caciquisme, les "vendettas"et clans familiaux (cf Corse), Le banditisme à l'ancienne mode (cf Corse).
Avril. Chez M. Stavenhagen, extraordinaire collection de pièces préhispaniques. Expressions de visages étonnantes. Un chien couché archaïque au long cou et à la petite tête rappelle exactement Tamayo (celui-ici s'en est-il directement inspiré ou est-ce une rencontre ?) Arrivée de M. Herzog, l'alpiniste de l'Anapurna, avec Ichac. L'ambassadeur se voit accorder seulement le passage de 2 personnes sur le terrain d'arrivée, mais une quinzaine forcent les barrages !! "[illisible...."]. ses deux conférences. Dîner ici avec Gérard Philippe...etc. Les banlieux ont ici toujours quelque chose d'inachevé, des maisons "a medio Racer". ruiniformes quand il s'agit d'adobes.
1-3 mai. Cuantla. Hôtel San Diego (tel 16) et Espana. Samedi, dimanche : le marché pittoresque, dans une rue bordée de [illisible] aux enseignes typiques et de petites cuisines où les gens du pays mangent et leurs tacos et enchiladas. Les purs indiens tout en blanc. Puis tous les types intermédiaires à chemises de couleur avec, et quelquefois sans chapeau. Mais on voit déjà ça et là la télévision, qui intrigue les campagnard. Un pueblo indien de terre sèche. Le pueblo de Tetelzingo dans la plaine sèche avant d'arriver à Cuantla : on remarque à Cuantla ses femmes à rebozos bleu foncé" qui parlent mexicain. Le village paraît très abandonné, avec ses maisons d'adobes décolorés dans des "corrales" pleins de crottin et débris desséchés. De maigres mulets et bourricots se tiennent immobiles à côté des arbres rabougris, où d'invisibles "Chicharras" de [illisible] culientes poussent par intermittence leurs cris perçants. Six églises ou chapelles s'élèvent ça et là leur masse au dessus des adobes ruiniformes et des branches étiques : mais la