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− | de ces gros ranchos (ou petite hacienda) avant Tepatitlan : plan carré fermé à l'extérieur, sauf par une galerie en arcades au 1er étage (post-re au XVIIe - XVII e ?) |
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− | Ce n'est cependant pas le cas le plus fréquent : vers Tepatitlan et au delà je vois des ranchos bâtis d'adobes, sur plan + ou - carré et fermé à l'extérieur avec une sorte de ["illisible"] carré d'adobes : aspect d'une petite forteresse grise et triste. |
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− | Le rancho le + courant a comme 8 ou 10 caballerias de terre, me dit-on. qq. 300 ha et n'a gén-t pas été divisé. Il comporte de vastes "agostaderos" c-à-d terres [illisible] maigres et buissonneuses, inutilisables à l'ép. sèche : |
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− | on envoie alors les troupeaux sur les "rastrojos" c;à;d. là où la récolte de maïs a été enlevée champs inondés pas [illisible...] |
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− | Tepatitlan : nbreuses églises svt modernes ou plutôt modernisées (pays ou clergé riche du fait de fidèles). |
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− | Gd collège des maristes. qq. vieilles maisons (peu, car pays assez riche). Terres rouges et adobes lie de vin. |
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+ | une galerie en arcades au 1er étage (postérieure au XVIe - XVII e ?) |
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− | Dans les champs qq. uns de ces vieux "caserones" massifs, de peu d'ouvertures, bien espagnols |
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+ | divisé. Il comporte de vastes "agostaderos" c-à-d terres |
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+ | on envoie alors les troupeaux sur les "rastrojos" c-à-d. là |
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+ | où la récolte de maïs a été enlevée | champs inondés par levées de terres (bordos) |
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+ | - Tepatitlan : nombreuses églises souvent modernes ou plutôt |
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− | San Juan de Los lagos dans une vallée accidentée aux collines plus sèches, qq. peu méditerranéennes, mais près d'une rivière paisible plantée d'arbres, agréable (quoique aux eaux troubles). |
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+ | modernisées (pays où clergé riche du fait des fidèles). |
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− | La ville est à rues à angle droit malgré les accidents du terroir, ce qui donne vers les extrémités des pentes raides à perspectives pittoresques. |
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+ | Gd collège de maristes. quelques vieilles maisons (peu, car pays |
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+ | assez riche). Terres rouges et adobes lie de vin. |
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+ | Ville assez riche, maison municipale affreuse, sur une place |
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+ | Dans les champs quelques uns de ces vieux "caserones" massifs, de peu d'ouvertures, |
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+ | = San Juan de Los lagos dans une vallée accidentée |
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+ | aux collines plus sèches, quelque peu méditerranéennes, |
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+ | mais près d'une rivière paisible plantée |
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+ | d'arbres, agréable (quoique aux eaux troubles). |
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+ | La ville est à rues à angle droit malgré les accidents |
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+ | des pentes raides à perspectives pittoresques. |
Version actuelle datée du 16 octobre 2018 à 15:27
1946
de ces gros ranchos (ou petite hacienda) avant Tepatitlan : plan carré fermé à l'extérieur, sauf par une galerie en arcades au 1er étage (postérieure au XVIe - XVII e ?) Ce n'est cependant pas le cas le plus fréquent : vers Tepatitlan et au delà je vois des ranchos bâtis d' adobes, sur plan + ou - carré et fermé à l'extérieur avec une sorte de "torreon" carré d'adobes : aspect d'une petite forteresse grise et triste.
Le rancho le + courant a [comme ?] 8 ou 10 caballerias de terre, me dit-on - quelque 300 ha - et n'a généralement pas été divisé. Il comporte de vastes "agostaderos" c-à-d terres de pacage maigres et buissonneuses, inutilisables à l'époque sèche : on envoie alors les troupeaux sur les "rastrojos" c-à-d. là où la récolte de maïs a été enlevée | champs inondés par levées de terres (bordos)
- Tepatitlan : nombreuses églises souvent modernes ou plutôt modernisées (pays où clergé riche du fait des fidèles). Gd collège de maristes. quelques vieilles maisons (peu, car pays assez riche). Terres rouges et adobes lie de vin.
- Jalostitlan, pays moins vert, à murettes. Ville assez riche, maison municipale affreuse, sur une place à arcades + ou - moderne. Dans les champs quelques uns de ces vieux "caserones" massifs, de peu d'ouvertures, bien espagnols
= San Juan de Los lagos dans une vallée accidentée aux collines plus sèches, quelque peu méditerranéennes, mais près d'une rivière paisible plantée d'arbres, agréable (quoique aux eaux troubles). La ville est à rues à angle droit malgré les accidents du terrain, ce qui donne vers les extrémités des pentes raides à perspectives pittoresques.