Différences entre versions de « 8:97:9894 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
 
Ligne 12 : Ligne 12 :
 
Un ami m'avait bien informé que vous aviez nommé membres de l'académie des Inscriptions, j'avais cherché dans l'officiel, mais sans y rien [rencontrer ?] vous concernant. J'ai pensé alors que mon ami s'était trompé et c'est pourquoi dans la crainte de commettre un impair, je ne vous en ai pas parlé dans ma lettre.
 
Un ami m'avait bien informé que vous aviez nommé membres de l'académie des Inscriptions, j'avais cherché dans l'officiel, mais sans y rien [rencontrer ?] vous concernant. J'ai pensé alors que mon ami s'était trompé et c'est pourquoi dans la crainte de commettre un impair, je ne vous en ai pas parlé dans ma lettre.
 
Inutile de vous entretenir de notre travail à [Berthouville?] puisque dans quelques jours nous aurons le loisir d'en causer tout à l'aise avec Mr [illisible], mon fidèle et intelligent collaborateur qui m'accompagnera.
 
Inutile de vous entretenir de notre travail à [Berthouville?] puisque dans quelques jours nous aurons le loisir d'en causer tout à l'aise avec Mr [illisible], mon fidèle et intelligent collaborateur qui m'accompagnera.
Présentez, je vous prie, mes respectueux hommages à Madame Babelon et offrez-lui en même temps mes meilleurs compliments.
+
Présentez, je vous prie, mes respectueux hommages à Madame Babelon et offrez-lui en même temps mes meilleurs compliments

Version actuelle datée du 10 novembre 2020 à 15:44

Poitiers le 22 décembre 1897

Mr Babelon [Conservation ?] cabinet des médaillés Paris

Cher Maître et ami,

Votre lettre me remplit d'allégresse et je partage bien sincèrement votre joie et je remercie Dieu de nous combler ainsi de ses bienfaits. Du fond du coeur j'adresse mes plus chaudes félicitation au savant académicien et à l'heureux père. Un ami m'avait bien informé que vous aviez nommé membres de l'académie des Inscriptions, j'avais cherché dans l'officiel, mais sans y rien [rencontrer ?] vous concernant. J'ai pensé alors que mon ami s'était trompé et c'est pourquoi dans la crainte de commettre un impair, je ne vous en ai pas parlé dans ma lettre. Inutile de vous entretenir de notre travail à [Berthouville?] puisque dans quelques jours nous aurons le loisir d'en causer tout à l'aise avec Mr [illisible], mon fidèle et intelligent collaborateur qui m'accompagnera. Présentez, je vous prie, mes respectueux hommages à Madame Babelon et offrez-lui en même temps mes meilleurs compliments