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pourrai lever l’estampage de cette cloche de Craon [ ?] qui me parait être du XIVe siècle. Quant à l’inscription de la 1er de Vouneuil sur Vienne qui vient de la paroisse de Moussay aujourd’hui reliée à celle de Vouneuil, je croyais vous l’avoir envoyée, mais puis qu’il n’en est pas ainsi, j’en rechercherai le relevé que j’ai certainement au milieu de mes nombreuses notes que mon déplacement en Angleterre et [illisible] de maladies, ont laissés dans le plus grand désordre. |
pourrai lever l’estampage de cette cloche de Craon [ ?] qui me parait être du XIVe siècle. Quant à l’inscription de la 1er de Vouneuil sur Vienne qui vient de la paroisse de Moussay aujourd’hui reliée à celle de Vouneuil, je croyais vous l’avoir envoyée, mais puis qu’il n’en est pas ainsi, j’en rechercherai le relevé que j’ai certainement au milieu de mes nombreuses notes que mon déplacement en Angleterre et [illisible] de maladies, ont laissés dans le plus grand désordre. |
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Certainement j’ai été, je suis et demeurerai entièrement dévoué à la Société des Antiquaires de l’Ouest, car il me semble que lorsque l’on fait partie d’une société, une société ne repose pas sur quelques personnalités, on doit ou la servir, ou s’en éloigner ; c’est le programme que j’ai suivi et suivrai, et que n’ont ni suivi, ni suivent quelques uns de ses membres résidents. |
Certainement j’ai été, je suis et demeurerai entièrement dévoué à la Société des Antiquaires de l’Ouest, car il me semble que lorsque l’on fait partie d’une société, une société ne repose pas sur quelques personnalités, on doit ou la servir, ou s’en éloigner ; c’est le programme que j’ai suivi et suivrai, et que n’ont ni suivi, ni suivent quelques uns de ses membres résidents. |
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− | C’est imbu de ces principes que j’ai été, suis et serait, très indépendant de la société à laquelle j’appartiens, comme vous le dites si bien, (j’en habite le centre et peux me rendre compte par moi-même de sa situation et de ses difficultés |
+ | C’est imbu de ces principes que j’ai été, suis et serait, très indépendant de la société à laquelle j’appartiens, comme vous le dites si bien, (j’en habite le centre et peux me rendre compte par moi-même de sa situation et de ses difficultés présentes et à venir). C’est pour cela qu’on ne peut plus indépendant, je vous adresse la petite note que vous me demandez couvrant les estampages que je relève sur les façades extérieures du Temple Saint-Jean. Je vous autorise bien volontiers à la reproduire in extenso dans votre Revue. Le temps me manque car je suis vraiment foulé de besogne, pour vous parler d’un intéressant trésor monétaire d’argent du Département que j’ai pour le moment dans ma chambre ; du résultat d’un déplacement de 16 heures relatif à la Mension Ségora ; d’objet Mérovingien trouvé à Poitiers ; [illisible] viendra d’ici quelques semaines, lorsque [illisible] des augustins sera ouvert au public. |
− | Ce n’est pas |
+ | Ce n’est pas par indifférence si je n’ai pas écrit à notre ami Espérandieu au sujet de sa nomination si légitimement acquise ; je n’ai non plus depuis 2 mois accusé réception et remercié la société Monumentale de France de ma nomination de membre correspondant de la dite société ; mais c’est parce que je suis vraiment foulé, [illisible] archéologue [illisible] n’ai même pas été à la prise de parole à la Sorbonne et j’étais [illisible] et avoir ma carte. |
Version actuelle datée du 3 juillet 2018 à 19:00
pourrai lever l’estampage de cette cloche de Craon [ ?] qui me parait être du XIVe siècle. Quant à l’inscription de la 1er de Vouneuil sur Vienne qui vient de la paroisse de Moussay aujourd’hui reliée à celle de Vouneuil, je croyais vous l’avoir envoyée, mais puis qu’il n’en est pas ainsi, j’en rechercherai le relevé que j’ai certainement au milieu de mes nombreuses notes que mon déplacement en Angleterre et [illisible] de maladies, ont laissés dans le plus grand désordre. Certainement j’ai été, je suis et demeurerai entièrement dévoué à la Société des Antiquaires de l’Ouest, car il me semble que lorsque l’on fait partie d’une société, une société ne repose pas sur quelques personnalités, on doit ou la servir, ou s’en éloigner ; c’est le programme que j’ai suivi et suivrai, et que n’ont ni suivi, ni suivent quelques uns de ses membres résidents. C’est imbu de ces principes que j’ai été, suis et serait, très indépendant de la société à laquelle j’appartiens, comme vous le dites si bien, (j’en habite le centre et peux me rendre compte par moi-même de sa situation et de ses difficultés présentes et à venir). C’est pour cela qu’on ne peut plus indépendant, je vous adresse la petite note que vous me demandez couvrant les estampages que je relève sur les façades extérieures du Temple Saint-Jean. Je vous autorise bien volontiers à la reproduire in extenso dans votre Revue. Le temps me manque car je suis vraiment foulé de besogne, pour vous parler d’un intéressant trésor monétaire d’argent du Département que j’ai pour le moment dans ma chambre ; du résultat d’un déplacement de 16 heures relatif à la Mension Ségora ; d’objet Mérovingien trouvé à Poitiers ; [illisible] viendra d’ici quelques semaines, lorsque [illisible] des augustins sera ouvert au public.
Ce n’est pas par indifférence si je n’ai pas écrit à notre ami Espérandieu au sujet de sa nomination si légitimement acquise ; je n’ai non plus depuis 2 mois accusé réception et remercié la société Monumentale de France de ma nomination de membre correspondant de la dite société ; mais c’est parce que je suis vraiment foulé, [illisible] archéologue [illisible] n’ai même pas été à la prise de parole à la Sorbonne et j’étais [illisible] et avoir ma carte.