Différences entre versions de « 10:67:7439 »
(Page créée avec « été que pour faciliter les séjours permanents ou passagers qu'y faisaient les populations civiles et militaires, mais on n'en a rencontré jusqu’ici aucune trace ; il... ») |
|||
(3 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
− | été que pour faciliter les séjours permanents ou passagers qu'y faisaient les populations civiles et militaires, mais on n'en a rencontré jusqu’ici aucune trace ; il n' |
+ | été que pour faciliter les séjours permanents ou passagers qu'y faisaient les populations civiles et militaires, mais on n'en a rencontré jusqu’ici aucune trace ; il n'en est heureusement pas de même des passages qui leur permettaient d'être en relations avec les populations extérieures et même étrangères, car ils existait encore visibles ou dissimulés par de la terre ou par les eaux des rivières. Ces passages, au nombre de six sont en effet les suivants. Le premier est situé au Sud-Ouest entre le pont de Blossac et l'église Sainte-Hilaire et porte actuellement le nom de Rue de la Tranchée ; il constituait le point de départ de deux chemins, situés, à l'Ouest du Clain, dont l'un partait à droite du Faubourg Saint-Jacques, traversait Belle-Jouanne, la Torchèse et se dirigeait par Sanxay sur Saint-Maixent et l'autre qui partait du même point, passait à Fontaine-le Comte, à Lusignan et se dirigeait vers Saintes par Rom. Le second passage au Sud et à gauche du Pont-Achard, était composé d'un gué qui existe sous l'ancient cours de la Boivre et se trouve aujourd'hui recouvert d'une couche de terre épaisse de 2m75 ; ce gué a été retrouvé en 1880 (11) en creusant un vaste puits [perdu ?] dans le jardin du sanatorium de Pont-Achard, et donnait naissance à plusieurs chemins qui longeaient la Boivre et desservaient les communes actuelles de Biard, de Vouneuil-sous-Biard et de Béruges,. Le troisième passage consistait également en un gué que l'on a rencontré dans l'ancien cours de la Boivre, en Septembre 1887 lorsqu'on effectua les grandes canalisations des eaux de Fleury (12), il exista à 0m80 au dessous du macadam de la Porte-des-Paris, et donnait accès à deux chemins dont l'un se dirigeait par la Cueille-Mirbalaise vers Quincay et Vouillé, et l'autre qui se trouvait sur la rive gauche du Clain, passait à Grand-Pont, à Chasseneuil, à Jaulnay, à Beaumont, à Naintré, |
Version actuelle datée du 20 juin 2018 à 10:00
été que pour faciliter les séjours permanents ou passagers qu'y faisaient les populations civiles et militaires, mais on n'en a rencontré jusqu’ici aucune trace ; il n'en est heureusement pas de même des passages qui leur permettaient d'être en relations avec les populations extérieures et même étrangères, car ils existait encore visibles ou dissimulés par de la terre ou par les eaux des rivières. Ces passages, au nombre de six sont en effet les suivants. Le premier est situé au Sud-Ouest entre le pont de Blossac et l'église Sainte-Hilaire et porte actuellement le nom de Rue de la Tranchée ; il constituait le point de départ de deux chemins, situés, à l'Ouest du Clain, dont l'un partait à droite du Faubourg Saint-Jacques, traversait Belle-Jouanne, la Torchèse et se dirigeait par Sanxay sur Saint-Maixent et l'autre qui partait du même point, passait à Fontaine-le Comte, à Lusignan et se dirigeait vers Saintes par Rom. Le second passage au Sud et à gauche du Pont-Achard, était composé d'un gué qui existe sous l'ancient cours de la Boivre et se trouve aujourd'hui recouvert d'une couche de terre épaisse de 2m75 ; ce gué a été retrouvé en 1880 (11) en creusant un vaste puits [perdu ?] dans le jardin du sanatorium de Pont-Achard, et donnait naissance à plusieurs chemins qui longeaient la Boivre et desservaient les communes actuelles de Biard, de Vouneuil-sous-Biard et de Béruges,. Le troisième passage consistait également en un gué que l'on a rencontré dans l'ancien cours de la Boivre, en Septembre 1887 lorsqu'on effectua les grandes canalisations des eaux de Fleury (12), il exista à 0m80 au dessous du macadam de la Porte-des-Paris, et donnait accès à deux chemins dont l'un se dirigeait par la Cueille-Mirbalaise vers Quincay et Vouillé, et l'autre qui se trouvait sur la rive gauche du Clain, passait à Grand-Pont, à Chasseneuil, à Jaulnay, à Beaumont, à Naintré,