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− | M. Clouzot ne recevant pas d’exemplaires du Bulletin de la faculté de Poitiers où se trouve la réponse de Hild, je vous ai télégraphié pour vous prier de m’expédier cette réponse en même temps que la copie de la lettre dont vous me parlez. Vous pensez si j’ai hâte d’avoir tout cela. |
+ | M. Clouzot ne recevant pas d’exemplaires du Bulletin de la faculté de Poitiers où se trouve la réponse de Hild, je vous ai télégraphié pour vous prier de m’expédier cette réponse en même temps que la copie de la lettre dont vous me parlez. Vous pensez si j’ai hâte d’avoir tout cela. |
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− | Pourquoi ne pas m’avoir envoyé dès hier ce n° du Bulletin, alors même que j’y serais éreinté et injurié et aussi la copie de notre lettre, alors même que l’affaire ne se terminerait pas comme nous l’aurions désiré. En sommes à part le courrier, les journaux de Poitiers n’ont rien dit du tout. Je n’ai pas bien compris l’histoire de votre lettre qui doit paraitre aujourd’hui mais il semble que tout finit par une |
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+ | Pourquoi ne pas m’avoir envoyé dès hier ce n° du Bulletin, alors même que j’y serais éreinté et injurié ? et aussi la copie de votre lettre, alors même que l’affaire ne se terminerait pas comme nous l’aurions désiré. – En sommes à part le Courrier, les journaux de Poitiers n’ont rien dit du tout. Je n’ai pas bien compris l’histoire de votre lettre qui doit paraitre aujourd’hui mais il semble que tout finit par une |
Version actuelle datée du 29 janvier 2018 à 10:22
11 heures
Mercredi 1er aout 1883
Révérend & Cher Père
M. Clouzot ne recevant pas d’exemplaires du Bulletin de la faculté de Poitiers où se trouve la réponse de Hild, je vous ai télégraphié pour vous prier de m’expédier cette réponse en même temps que la copie de la lettre dont vous me parlez. Vous pensez si j’ai hâte d’avoir tout cela.
Pourquoi ne pas m’avoir envoyé dès hier ce n° du Bulletin, alors même que j’y serais éreinté et injurié ? et aussi la copie de votre lettre, alors même que l’affaire ne se terminerait pas comme nous l’aurions désiré. – En sommes à part le Courrier, les journaux de Poitiers n’ont rien dit du tout. Je n’ai pas bien compris l’histoire de votre lettre qui doit paraitre aujourd’hui mais il semble que tout finit par une