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surtout ont changé.
 
surtout ont changé.
L'heure bleue n'est plus bleue. C'était une heure de printemps. L'heur bleue c'est l'heure grise en été. D'un beau gris, très doux et très dense.
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L'heure bleue n'est plus bleue. C'était une heure de printemps. L'heure bleue c'est l'heure grise en été. D'un beau gris, très doux et très dense.
 
L'air est plus compact, un rien pus suave, un brin écoeurant, au plein coeur du jour.
 
L'air est plus compact, un rien pus suave, un brin écoeurant, au plein coeur du jour.
 
La végétation, les verts plus foncés et les taches de couleurs des fleurs partout épanouies.
 
La végétation, les verts plus foncés et les taches de couleurs des fleurs partout épanouies.
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Et puis les gens : ceux qui manquent (Douine, Nenette, Virgile : mes trois bornes). Ceux qui étaient là mais dont je fais seulement la connaissance maintenant et qui me renvoient du Brusc une image moins homogène que celle que j'en avais : villageoise, terrienne, parfois urbaine.
 
Et puis les gens : ceux qui manquent (Douine, Nenette, Virgile : mes trois bornes). Ceux qui étaient là mais dont je fais seulement la connaissance maintenant et qui me renvoient du Brusc une image moins homogène que celle que j'en avais : villageoise, terrienne, parfois urbaine.
Je pense à Cri-Cri qui combine avec allégresse et peut-être harmonie, je le sais pas encore les balnéarités et les bruscanités du lieu.
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Je pense à Cri-Cri qui combine avec allégresse et peut-être harmonie, je ne sais pas encore les balnéarités et les bruscanités du lieu.
 
Elle n'aimerait pas, je pense, savoir
 
Elle n'aimerait pas, je pense, savoir

Version actuelle datée du 25 septembre 2017 à 13:15

surtout ont changé.

L'heure bleue n'est plus bleue. C'était une heure de printemps. L'heure bleue c'est l'heure grise en été. D'un beau gris, très doux et très dense.
L'air est plus compact, un rien pus suave, un brin écoeurant, au plein coeur du jour.

La végétation, les verts plus foncés et les taches de couleurs des fleurs partout épanouies.

Et puis les gens : ceux qui manquent (Douine, Nenette, Virgile : mes trois bornes). Ceux qui étaient là mais dont je fais seulement la connaissance maintenant et qui me renvoient du Brusc une image moins homogène que celle que j'en avais : villageoise, terrienne, parfois urbaine. Je pense à Cri-Cri qui combine avec allégresse et peut-être harmonie, je ne sais pas encore les balnéarités et les bruscanités du lieu. Elle n'aimerait pas, je pense, savoir