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Version actuelle datée du 20 janvier 2017 à 14:39

2 le nombre fut égal, et le surplus des trente âmes était envoyé par le bateau d'été à Lewis, au Yarl de Seafort, leur maître, à qui ils payaient chaque année une quantité de laine prélevée sur la peau de leurs moutons et des plumes d'oiseaux de mer. Ils n'avaient pas de combustible pour faire du feu dans l'île, mais, par une providence de Dieu, la mer y jetait annuellement autant de bois qu'ils en avaient besoin. Leurs troupeaux avaient beaucoup de laine, mais d'une couleur bleuâtre. Il y avait une chapelle (celle de St Ronan) dans le milieu de l'île où ils se rendaient deux et trois fois par jour. Une des famille est héréditairement bedelle, et le chef de cette famille se tenait à l'autel et priait, le reste s'agenouillait et s'unissait à lui. Il y avait toujours un qui était le chef et qui commandait aux autres, et ils se trouvaient si bien de ce régime qu'ils déploraient abondamment le sort de ceux qui, en excès de population, étaient obligés de quitter l'île.

D'après Martin, voici en quels termes, ils recevaient les visiteurs du dehors : - Dieu vous sauve, Pèlerin ; vous êtes le bienvenu ici, de tout cœur, car nous avons déjà eu des apparitions de votre personne parmi nous (par la seconde vue ), et nous vous congratulons de grand cœur de votre arrivée dans cette contrée reculée.

Pour exprimer leur estime au visiteur, en guise d'hommage, ils faisaient le tour de sa personne, dans le sens du soleil, en le bénissant et en lui souhaitant mille bonheurs. (1703) Il y a là, dit encore Martin, une chapelle