Différences entre versions de « 4:48:3960 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
m (A protégé « .NDI.NDcwNg » ([Modifier=Autoriser uniquement les administrateurs] (infini)))
 
(6 versions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
  +
2
le nombre fut égal, et le surplus des [illisible]
 
  +
le nombre fut égal, et le surplus des trente
 
âmes était envoyé par le bateau d'été
 
âmes était envoyé par le bateau d'été
à Lewis, au York de Seaford, leur maître,
+
à Lewis, au Yarl de Seafort, leur maître,
 
à qui ils payaient chaque année une quantité
 
à qui ils payaient chaque année une quantité
 
de laine prélevée sur la peau de leurs moutons
 
de laine prélevée sur la peau de leurs moutons
et des plumes d'oiseaux [illisible]. Ils n'avaient
+
et des plumes d'oiseaux de mer. Ils n'avaient
 
pas de combustible pour faire du feu dans
 
pas de combustible pour faire du feu dans
 
l'île, mais, par une providence de Dieu,
 
l'île, mais, par une providence de Dieu,
 
la mer y jetait annuellement autant de
 
la mer y jetait annuellement autant de
bois qu'ils en avaient besoin.Leurs [illisible]
+
bois qu'ils en avaient besoin. Leurs troupeaux
 
avaient beaucoup de laine, mais d'une couleur
 
avaient beaucoup de laine, mais d'une couleur
 
bleuâtre. Il y avait une chapelle (celle de St
 
bleuâtre. Il y avait une chapelle (celle de St
Ronan) de le milieu de l'île où ils se rendaient
+
Ronan) dans le milieu de l'île où ils se rendaient
deux ou trois fois par jour. Une des
+
deux et trois fois par jour. Une des
 
famille est héréditairement bedelle, et le
 
famille est héréditairement bedelle, et le
 
chef de cette famille se tenait à l'autel et
 
chef de cette famille se tenait à l'autel et
Ligne 21 : Ligne 22 :
 
abondamment le sort de ceux
 
abondamment le sort de ceux
 
qui, en excès de population, étaient obligés
 
qui, en excès de population, étaient obligés
de quitter l''île.
+
de quitter l'île.
   
 
D'après Martin, voici en quels termes, ils
 
D'après Martin, voici en quels termes, ils
 
recevaient les visiteurs du dehors :
 
recevaient les visiteurs du dehors :
Dieu vous sauve, Pèlerin ; vous êtes le
+
- Dieu vous sauve, Pèlerin ; vous êtes le
 
bienvenu ici, de tout cœur, car nous avons déjà
 
bienvenu ici, de tout cœur, car nous avons déjà
 
eu des apparitions de votre personne parmi
 
eu des apparitions de votre personne parmi
nous (par la [illisible] ), et nous vous congratulons
+
nous (par la seconde vue ), et nous vous congratulons
de grand coeur de votre arrivée
+
de grand cœur de votre arrivée
dans cette contrée [illisible].
+
dans cette contrée reculée.
   
 
Pour exprimer leur estime au visiteur, en
 
Pour exprimer leur estime au visiteur, en
Ligne 36 : Ligne 37 :
 
personne, dans le sens du soleil, en le bénissant
 
personne, dans le sens du soleil, en le bénissant
 
et en lui souhaitant mille bonheurs.
 
et en lui souhaitant mille bonheurs.
  +
(1703)
 
Il y a là, dit encore Martin (1703), une chapelle
+
Il y a là, dit encore Martin, une chapelle

Version actuelle datée du 20 janvier 2017 à 14:39

2 le nombre fut égal, et le surplus des trente âmes était envoyé par le bateau d'été à Lewis, au Yarl de Seafort, leur maître, à qui ils payaient chaque année une quantité de laine prélevée sur la peau de leurs moutons et des plumes d'oiseaux de mer. Ils n'avaient pas de combustible pour faire du feu dans l'île, mais, par une providence de Dieu, la mer y jetait annuellement autant de bois qu'ils en avaient besoin. Leurs troupeaux avaient beaucoup de laine, mais d'une couleur bleuâtre. Il y avait une chapelle (celle de St Ronan) dans le milieu de l'île où ils se rendaient deux et trois fois par jour. Une des famille est héréditairement bedelle, et le chef de cette famille se tenait à l'autel et priait, le reste s'agenouillait et s'unissait à lui. Il y avait toujours un qui était le chef et qui commandait aux autres, et ils se trouvaient si bien de ce régime qu'ils déploraient abondamment le sort de ceux qui, en excès de population, étaient obligés de quitter l'île.

D'après Martin, voici en quels termes, ils recevaient les visiteurs du dehors : - Dieu vous sauve, Pèlerin ; vous êtes le bienvenu ici, de tout cœur, car nous avons déjà eu des apparitions de votre personne parmi nous (par la seconde vue ), et nous vous congratulons de grand cœur de votre arrivée dans cette contrée reculée.

Pour exprimer leur estime au visiteur, en guise d'hommage, ils faisaient le tour de sa personne, dans le sens du soleil, en le bénissant et en lui souhaitant mille bonheurs. (1703) Il y a là, dit encore Martin, une chapelle