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à Pluzunet à cette époque. Les vieux ["comédienches" ?]
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à Pluzunet à cette époque. Les vieux "comédiancher"
 
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Le Ménager, le père de Bertrand ; il était
 
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[fournier] à Pluzunet : il était antérieur à
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Il est question de lui dans le prologue de
 
Il est question de lui dans le prologue de

Version du 6 janvier 2017 à 16:42

s'est abstenu de s'enivrer comme chaque dimanche. Il est maçon de son métier. Il est originaire de Pluzunet. Il est complètement illettré : il a cependant appris tout seul à lire le breton et même le français. Il n'a jamais été à aucune école. Il a été au service où il a fait cinq ans, dans le 71e de ligne : il était à Metz pendant la guerre, fut prisonnier en Prusse, puis versé au 9e provisoire et enfin versé au 22e de ligne. C'est à l'armée qu'il a appris un peu de français.

C'est à l'âge de 18 ans qu'à Pluzunet Il commença à se passionner pour le théâtre populaire. On jouait la comédie sans cesse à Pluzunet à cette époque. Les vieux "comédiancher" d'alors étaient Le Houaren et surtout Jean Guélou. Il était venu à Pluzunet de Pedernic ; il était charpentier de son métier et était venu s'installer au Loc. Il était fou de tragédie. Ce fut lui qui ranima le goût des représentations dans le pays. Il y avait encore un certain Ménager, Jean Le Ménager, le père de Bertrand ; il était fournier à Pluzunet : il était antérieur à Guélou, mais ils se lièrent tous deux. Il est question de lui dans le prologue de Sainte-Triphine. Ce furent les deux metteurs en train. Jean Guélou avait connu le monde, il avait assisté à des représentations