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Paris, 8 avril 1880 |
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| − | L'article du Gaulois ne m'est point tombé sous les yeux, cher monsieur, je m'abstiens de lire les vilenies que trop souvent, il débite. Et Quicherat, pas plus que moi, ne fait attention a de pareilles sottises. Les travailleurs, honnêtes et désintéressés, n'ont que la vérité en vue. nous l'acceptons, l'un et l'autre, mêmevenant d'un jésuite. C'est assez dire que nous avons le cœur et l'esprit plus larges que beaucoup d'autres. |
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| + | L'article du Gaulois ne m'est point tombé sous les yeux, cher monsieur : je m'abstiens de lire les vilenies que trop souvent, il débite. Et Quicherat, pas plus que moi, ne fait attention a de pareilles sottises. Les travailleurs, honnêtes et désintéressés, n'ont que la vérité en vue. Nous l'acceptons, l'un et l'autre, même venant d'un jésuite. C'est assez dire que nous avons le cœur et l'esprit plus larges que beaucoup d'autres. |
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Peu de jours après mon arrivée chez moi, c'est à dire à la fin de la semaine prochaine, j'irai à Poitiers et nous examinerons ensemble le précieux album, dont je vous dois |
Peu de jours après mon arrivée chez moi, c'est à dire à la fin de la semaine prochaine, j'irai à Poitiers et nous examinerons ensemble le précieux album, dont je vous dois |
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Version actuelle datée du 7 mai 2019 à 15:28
Paris, 8 avril 1880
L'article du Gaulois ne m'est point tombé sous les yeux, cher monsieur : je m'abstiens de lire les vilenies que trop souvent, il débite. Et Quicherat, pas plus que moi, ne fait attention a de pareilles sottises. Les travailleurs, honnêtes et désintéressés, n'ont que la vérité en vue. Nous l'acceptons, l'un et l'autre, même venant d'un jésuite. C'est assez dire que nous avons le cœur et l'esprit plus larges que beaucoup d'autres.
Peu de jours après mon arrivée chez moi, c'est à dire à la fin de la semaine prochaine, j'irai à Poitiers et nous examinerons ensemble le précieux album, dont je vous dois