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Me voici de retour avec l'album contenant le Flabellum qui m'est prêté en votre faveur pour 4 ou 5 semaines, comme je vous |
Me voici de retour avec l'album contenant le Flabellum qui m'est prêté en votre faveur pour 4 ou 5 semaines, comme je vous |
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le disait Lundi. Les dessins de ce précieux objet sont au nombre de 14 et à deux échelles ; je ne puis rien entreprendre sans que vous me désigniez vous même ce que vous désirez ; venez donc directement de Paris ici ou si vous êtes à St Cyr quittez le prochainement, et gagnez Poitiers, mais avisez moi à temps de votre venue. |
le disait Lundi. Les dessins de ce précieux objet sont au nombre de 14 et à deux échelles ; je ne puis rien entreprendre sans que vous me désigniez vous même ce que vous désirez ; venez donc directement de Paris ici ou si vous êtes à St Cyr quittez le prochainement, et gagnez Poitiers, mais avisez moi à temps de votre venue. |
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− | A mon arrivée à Poitiers, ce soir on me remit un N° du Gaulois dont je regrette vivement l'article qui me concerne. On m'y prête des jugements, des paroles et des épithètes qui n'ont jamais été les miens |
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+ | A mon arrivée à Poitiers, ce soir, on me remit un N° du Gaulois dont je regrette vivement l'article qui me concerne. On m'y prête des jugements, des paroles et des épithètes qui ne me sont jamais venus |
Version actuelle datée du 7 mai 2019 à 15:24
Poitiers, 6 avril 1880
Mon cher Monsieur,
Me voici de retour avec l'album contenant le Flabellum qui m'est prêté en votre faveur pour 4 ou 5 semaines, comme je vous le disait Lundi. Les dessins de ce précieux objet sont au nombre de 14 et à deux échelles ; je ne puis rien entreprendre sans que vous me désigniez vous même ce que vous désirez ; venez donc directement de Paris ici ou si vous êtes à St Cyr quittez le prochainement, et gagnez Poitiers, mais avisez moi à temps de votre venue.
A mon arrivée à Poitiers, ce soir, on me remit un N° du Gaulois dont je regrette vivement l'article qui me concerne. On m'y prête des jugements, des paroles et des épithètes qui ne me sont jamais venus