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M. Raymond Rollinat, à Argenton-sur-Creuse, Indre
 
M. Raymond Rollinat, à Argenton-sur-Creuse, Indre
 
 
Poitiers le 17 Août 1905.
 
Poitiers le 17 Août 1905.
 
 
Monsieur,
 
Monsieur,
J'ai appris par notre ami commun, le Peignon fils, naturaliste que vous vous intéressiez à des découvertes archéologiques de votre région, et que vous lui aviez exprimé le désir de me voir les examiner, afin de vous communiquer mes observations à leur sujet; il me dit également que vous voulez bien me recevoir seriez absent d'être prévenu de ma visite, afin de pouvoir inviter quelques savant de la région. Je suis d'autant plus sensible à cette aimable invitation, que je n'ai pas eu jusqu'ici l'honneur d'être en relation avec vous, et je vous en remercie beaucoup.
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J'ai appris par notre ami commun, M Peignon fils, naturaliste que vous vous intéressiez à des découvertes archéologiques de votre région, et que vous lui aviez exprimé le désir de me voir les examiner, afin de vous communiquer mes observations à leur sujet ; il me dit également que vous voulez bien me recevoir, mais que vous seriez bien aise d'être prévenu de ma visite, afin de pouvoir inviter quelques savants de la région. Je suis d'autant plus sensible à cette aimable invitation, que je n'ai pas eu jusqu'ici l'honneur d'être en relation avec vous, et je vous en remercie beaucoup.
D'autre part, votre ami Mr Georges Lenseigne, vient de m'écrire
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D'autre part, votre ami M. Georges Lenseigne, vient de m'écrire

Version du 25 avril 2019 à 10:27

M. Raymond Rollinat, à Argenton-sur-Creuse, Indre Poitiers le 17 Août 1905. Monsieur, J'ai appris par notre ami commun, M Peignon fils, naturaliste que vous vous intéressiez à des découvertes archéologiques de votre région, et que vous lui aviez exprimé le désir de me voir les examiner, afin de vous communiquer mes observations à leur sujet ; il me dit également que vous voulez bien me recevoir, mais que vous seriez bien aise d'être prévenu de ma visite, afin de pouvoir inviter quelques savants de la région. Je suis d'autant plus sensible à cette aimable invitation, que je n'ai pas eu jusqu'ici l'honneur d'être en relation avec vous, et je vous en remercie beaucoup. D'autre part, votre ami M. Georges Lenseigne, vient de m'écrire