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(couvrant seult. les frais). Pas d'église (il est vrai que le village est petit )

Il parait que la consommation a bcp augmenté à la campagne ; la production suit péniblement en accroissant les surfaces cultivées ( de yuca, mané?, pupa, etc.) plus que par accroisst de la productivité, qui a parfois baissé par départ agronomes etc. avoue-t-on - [mais maintent. réaction en faveur de la canne, pr avoir des devises . Puis interdiction de tuer du bétail femelle, les troupeaux et le cheptel ayt. dangereusement diminué : d'où tendance à "serrer la ceinture" des consommateurs]

La "coopérative canera" est réellt. une exploitation de type socialiste (pas de lots individuels ni propriété, travail en équipe, ventes des récoltes par l'INRA qui perçoit l'argent et le reverse à son gré ..etc. (cf. Fiche pr organ. détaillée]) Mais l'INRA, ou l'état, n'a fait que se substituer au propriétaire, individu ou société, le travail des salariés étant collectif sur les champs de canne, avant comme maintenant. Le succès était donc aisé sur ce terrain. (le salaire devient l'"anticipo" )

= La situation n'est sûrt. pas aussi facile en ce qui concerne les moyens et petits propriétaires groupés dans l'ANAP (association de pequenos agricultures) La limite de la propté. privée est fixée à 30 caballerrias. A l'INRA on ne cache pas cependt. que là n'est pas l'avenir : les avantages faits aux coopératives ( principalt. constructions de maisons ) fait que les "petits" propres. ne trouvent plus de main d'œuvre . On espère pouvoir ultérieurt. racheter leurs terres, et on a commencé pr certains, par annuités...

2 février . Départ projeté pr visiter una "granja del pueblo". Mais on ne vient pas me chercher (panne auto ? sble-t-il) De visites en ville.

Du centre je reviens en autobus plein. celui-ci accroche un camion arrêté, cassant toutes les vitres des côtés, abîmant une partie du devant et la carrosserie latérale... Attroupement, peu de commentaires inexpérience d'un nouveau chauffeur ? sabotage ? Il