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3. Anne Audren : lorsque j'étais âgée de 12 ou 13 ans, j'ai entendu
 
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de Penvénan, ont béni la chapelle et le cimetière de S. G. et y ont
 
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dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était gouverneur
 
dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était gouverneur

Version actuelle datée du 9 avril 2019 à 13:02

[Chapelle Saint Gildas, Penvénan. Voir ce même carnet p. 29 (35) à 31 (37)]

Dépositions de témoins

1. Y. Guilou : il y a environ 16 ans j'ai entendu M. Le Jan curé de Pen. , déf. à ses paroiss. d'aller au pard. de S. G. le dim. de la Pte. L'année d'après, il annonça égalt en chaire qu'il s'était entendu avec M. Dup. et qu'après les vêpres de Penvénan on dirait les Vêpres à la Ch. S. G. le dimanche de la Pentecôte, comme on l'avait fait précédemment, que quant à la messe, on [l'eussent?] dite le lundi matin que quand il y aurait une pierre consacrée.

2. Ls Le Yeaudet ; il y a env. 20 ans, j'ai entendu M. Le Jan, alors curé à Penvénan, dire en chaire qu'il ne fallait pas aller le dim. de la Pent. au pardon de S. G. et qu'il ne donnerait l'absolution ni à ceux qui iraient ni à leurs familles. Il y a 14 ans passés depuis la pent. J'ai entendu le même M. Le Jan dire égalt en chaire qu'ayant obtenu l'autoris. de M. Dup., le pardon se ferait à S. G. le dim. de la Pent., comme il avait eu lieu auparavant, mais que la messe n'y serait dite que lorsqu'il y aurait une pierre consacrée.

3. Anne Audren : lorsque j'étais âgée de 12 ou 13 ans, j'ai entendu dire à mon père et à ma mère que l'île S. G. appart. a M. Dup. Je ne sais s'ils entendaient parler de l'île ou de la chapelle. C'est du temps, qu'à ma connaissance du moins, on a commencé à dire la messe dans la chap. de S. G. Je me rappelle que du temps du Coléra, Ms Le Jan et Duval, le 1er curé et le 2d vicaire de Penvénan, ont béni la chapelle et le cimetière de S. G. et y ont dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était gouverneur de la chapelle ; c'est aussi à cette époque qu'il fut placé dans la chapelle deux pierres consacrées, qui furent apportées chez mon père avant d'être mises dans la ch(elle). elles vinrent de la paroisse et de la part de M. Le Jan et du tr de la fabrique. Je vis moi-même ces deux pierres. C'était un nommé [illisible] qui les avaient portées à la maison, et qui enleva les serviettes qui les entouraient. Ce fut un nommé Lescop, maçon de Plousgrescant qui plaça ces pierres dans la chapelle ; mais j'ignore par les ordres de qui. Je répète qu'elles furent [envoyées?] de la paroisse.