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nationale de St Malo en 1814. A partir de ce moment, il ne fit plus que des spéculations commerciales. Il arma 19 corsaires. C'était pour lui un bonheur d'employer beaucoup de marins et d'étendre les relations commerciales de son pays. En 1827, au milieu de ses préoccup. d'armements, une indisposit. subite lui fit pressentir sa fin prochaine. Il devint sombre et son courage parut chanceler, lui qui avait si souvent bravé la mort. Il se fit porter à Riancourt, sa campagne. Il régla ses dernières affaires, puis montra devant la mort le stoïcisme d'un grand cœur et la soumission d'un chrétien. Après plusieurs crises terribles, il expira le 8 juillet. Le clergé de St Malo et celui de St Servan s'unirent pour ses funérailles. Napoléon l'avait fait chevalier de la Lég. d'Hon. ; en 1803
L'étang de Combourg.
Mais ce qui attire et ce qui retient c'est l'étang. Il est là comme un miroir magique en qui flotteraient toujours vivantes, toutes les ombres mystérieuses du passé.