Différences entre versions de « 4:46:3634 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
 
(2 versions intermédiaires par un autre utilisateur non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
36
 
36
  +
 
nationale de St Malo en 1814. A partir de
 
nationale de St Malo en 1814. A partir de
 
ce moment, il ne fit plus que des spéculations
 
ce moment, il ne fit plus que des spéculations
Ligne 6 : Ligne 7 :
 
marins et d'étendre les relations commerciales
 
marins et d'étendre les relations commerciales
 
de son pays. En 1827, au milieu de ses
 
de son pays. En 1827, au milieu de ses
[?] d'armements, une [?] subite
+
préoccup. d'armements, une indisposit. subite
 
lui fit pressentir sa fin prochaine. Il devint
 
lui fit pressentir sa fin prochaine. Il devint
sombre et son courage parut [chanceler?], lui
+
sombre et son courage parut chanceler, lui
qui avait si souvent braver la mort. Il se
+
qui avait si souvent bravé la mort. Il se
fit porter à Biancourt, sa campagne. IL
+
fit porter à Riancourt, sa campagne. Il
 
régla ses dernières affaires, puis montra devant
 
régla ses dernières affaires, puis montra devant
 
la mort le stoïcisme d'un grand cœur et la
 
la mort le stoïcisme d'un grand cœur et la
 
soumission d'un chrétien. Après plusieurs crises
 
soumission d'un chrétien. Après plusieurs crises
 
terribles, il expira le 8 juillet. Le clergé de
 
terribles, il expira le 8 juillet. Le clergé de
St Malo et celui de St Servan [?] pour
+
St Malo et celui de St Servan s'unirent pour
des funérailles. Napoléon l'avait fait chevalier
+
ses funérailles. Napoléon l'avait fait chevalier
 
de la Lég. d'Hon. ; en 1803
 
de la Lég. d'Hon. ; en 1803
   

Version actuelle datée du 27 mars 2019 à 21:23

36

nationale de St Malo en 1814. A partir de ce moment, il ne fit plus que des spéculations commerciales. Il arma 19 corsaires. C'était pour lui un bonheur d'employer beaucoup de marins et d'étendre les relations commerciales de son pays. En 1827, au milieu de ses préoccup. d'armements, une indisposit. subite lui fit pressentir sa fin prochaine. Il devint sombre et son courage parut chanceler, lui qui avait si souvent bravé la mort. Il se fit porter à Riancourt, sa campagne. Il régla ses dernières affaires, puis montra devant la mort le stoïcisme d'un grand cœur et la soumission d'un chrétien. Après plusieurs crises terribles, il expira le 8 juillet. Le clergé de St Malo et celui de St Servan s'unirent pour ses funérailles. Napoléon l'avait fait chevalier de la Lég. d'Hon. ; en 1803


L'étang de Combourg.

Mais ce qui attire et ce qui retient c'est l'étang. Il est là comme un miroir magique en qui flotteraient toujours vivantes, toutes les ombres mystérieuses du passé.