Différences entre versions de « 4:47:3866 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
m (A protégé « .NDE.NDYxMg » ([Modifier=Autoriser uniquement les administrateurs] (infini)))
 
(Aucune différence)

Version actuelle datée du 6 mars 2019 à 11:26

68

Les tailleurs de pierres avec que leurs pieds nus dans leurs sabots Sont plus fiers que des évêques Chantait le vieux tailleur de pierres, Jacques Hénaff.

L'après-midi à Ploumanac'h.– A côté de la grève où est situé l'oratoire de St Kirec, se trouve en contre-haut une chapelle dédiée au même saint, dont le pardon a lieu le mercredi des Rogations, veille de l'Ascension. En attendant la clef, je regarde une vieille loger des fagots d'ajonc sec.

- An dreïned zo marc'hed mad ! me dit-elle.

Dans la chapelle en granit rouge, un maître-autel ancien, une belle statue de St Guirec à genoux, en évêque, livre en mains, figure de marin avec barbe en collier. A droite, une Pieta. Statue de St Guirec, plus petite, sur un grand bahut à gauche. Au-dessus, des ex-voto enfantins, des images, un petit bateau ; au-dessus encore, un vieux St Sébastien, barbelé de flèches. A droite de l'autel, au dessus d'un autre bahut, très curieuse statue de St Julien, en chevalier bardé de fer, avec lance et bouclier.

Dans la partie N., ds une niche creusée dans le mur, statue très ancienne de N. D des Marins avec un Jésus blond sur ses genoux. La porte d'entrée est percée d'un trou donnant ds un tronc.

8 octobre 1898. Soirée chez les Thomas, pour entendre chanter Mme Collier. Elle dit, entre autres, cette curieuse chanson populaire moderne recueillie, dit-elle, à Concarneau par Etienne Deyrolle.

Je la prends, je la descends, - Les Penmarc'h et les Glénans Je la jett' sur le froment