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Na dirag he vamm hag he dad
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Na voar an trez pa c'he laket
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Da diwada c'he commanset
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Wit [diskwel] d'he oa ho buguel
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Na dimeuz ho gwad naturel
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En Keriwoalan zo glac'har
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Ma zo neblec'h war an douar
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Eno oa zavet goel ha cri
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Pa na ar c'horf emès an ti.
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Adieu eta ma buguel
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Kenavo er joaïo eternel.
   
 
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Kerlouc'h, entre Saint-Guennolé et le Port-Blanc
 
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feu de Saint-Guennolé, semblable à une grand
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torche qui allaiti et venait par les champs. La veille
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venait, en bondissant de fossé en fossé, faire
 
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Version actuelle datée du 6 décembre 2018 à 20:23

188 Na dirag he vamm hag he dad O [?] da wassa calonad

Na voar an trez pa c'he laket Da diwada c'he commanset

Wit [diskwel] d'he oa ho buguel Na dimeuz ho gwad naturel

En Keriwoalan zo glac'har Ma zo neblec'h war an douar

Eno oa zavet goel ha cri Pa na ar c'horf emès an ti.

Adieu eta ma buguel Kenavo er joaïo eternel.

(chanté par Lise Bellec)

Tan Sant Guennolé. - Le grand-père de Marie- Yvonne Mainguy demeurait auprès de la croix de Kerlouc'h, entre Saint-Guennolé et le Port-Blanc appelait souvent, le soir, ses enfants pour voir le feu de Saint-Guennolé, semblable à une grande torche qui allait et venait par les champs. La veille de la fête de Notre-Dame de Port-Blanc, le feu venait, en bondissant de fossé en fossé, faire visite à la chapelle de la Vierge.

Un soir que l'on oublia de sonner l’angélus la veille de la fête, à Notre-Dame de Port-Blanc, Lise Bellec a entendu sonner d'elle-même trois grands coups espacés pour faire souvenir le sacristain qui était son père, de son oubli.