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− | Nous voyons ces terrains, après la disparition de l'hypogée [cervin?] jusqu'en 1346 de champs de foire, des assemblées foraines ayant remplacé les réunions religieuses, le pieu concours de [futiles?], et cette foire preuve le nom de la Pierre levée, seul monument resté visible sur cette plaine déserte. Le champs de foire appartenait au roi et ne parait pas avoir été aliéné, du moins avoué les [dix?] septième siècle, il était placé entre les terres données par le Comte Ebles Manzer pour la datation de l'abbaye de la Trinité, celles données par |
+ | Nous voyons ces terrains, après la disparition de l'hypogée [cervin?] jusqu'en 1346 de champs de foire, des assemblées foraines ayant remplacé les réunions religieuses, le pieu concours de [futiles?], et cette foire preuve le nom de la Pierre levée, seul monument resté visible sur cette plaine déserte. Le champs de foire appartenait au roi et ne parait pas avoir été aliéné, du moins avoué les [dix?] septième siècle, il était placé entre les terres données par le Comte Ebles Manzer pour la datation de l'abbaye de la Trinité, celles données par Geoffroi à l'abbaye de Montierneuf et quelques anciennes dépendances de Ste Croix. Il était traversé du sud au nord par divers chemin, dont le principal par [illisible] de l'abbaye de St Cyprien, se dirigeait vers Buxerolles, et était suivi par les pèlerins qui revenaient de St Jacques après avoir suspendu leurs [bourdons?] dans la chapelle ce saint, à l'embranchement des chemins de Ligugé et de Sanxay de St Maixent, allaient visiter St Cyprien. |
Version actuelle datée du 3 décembre 2018 à 09:30
[Maur?]
Nous voyons ces terrains, après la disparition de l'hypogée [cervin?] jusqu'en 1346 de champs de foire, des assemblées foraines ayant remplacé les réunions religieuses, le pieu concours de [futiles?], et cette foire preuve le nom de la Pierre levée, seul monument resté visible sur cette plaine déserte. Le champs de foire appartenait au roi et ne parait pas avoir été aliéné, du moins avoué les [dix?] septième siècle, il était placé entre les terres données par le Comte Ebles Manzer pour la datation de l'abbaye de la Trinité, celles données par Geoffroi à l'abbaye de Montierneuf et quelques anciennes dépendances de Ste Croix. Il était traversé du sud au nord par divers chemin, dont le principal par [illisible] de l'abbaye de St Cyprien, se dirigeait vers Buxerolles, et était suivi par les pèlerins qui revenaient de St Jacques après avoir suspendu leurs [bourdons?] dans la chapelle ce saint, à l'embranchement des chemins de Ligugé et de Sanxay de St Maixent, allaient visiter St Cyprien.