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Dépositions de témoins
 
Dépositions de témoins
   
1. Y. Guilon : il y a environ 16 ans j'ai entendu M. Le Jan [curé?]
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1. Y. Guilou : il y a environ 16 ans j'ai entendu M. Le Jan curé
[a Pen. ?], déf. a ses paroiss. d'aller au pard. de S. G. le dim. de la Pte.
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de [Pen. ?], déf. à ses paroiss. d'aller au pard. de S. G. le dim. de la Pte.
 
L'année d'après, il annonça égalt en chaire qu'il s'était entendu avec
 
L'année d'après, il annonça égalt en chaire qu'il s'était entendu avec
M. Dup. et qu'après les vèpres du Penvénan on dirait les Vèpres à la Ch.
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M. Dup. et qu'après les vêpres de Penvénan on dirait les Vêpres à la Ch.
S. G. le dimanche de la Pentecote, comme on l'avait fait précédemment,
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S. G. le dimanche de la Pentecôte, comme on l'avait fait précédemment,
que quant à la messe, on [illisible] dite le [lundi matin?] que quand
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que quant à la messe, on [illisible] dite le lundi matin que quand
 
il y aurait une pierre consacrée.
 
il y aurait une pierre consacrée.
   
2. Ls Le Yeaudet ; il y a [env.?] 20 ans, j'ai entendu M. Le Jan, alors curé
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2. Ls Le Jeandet ; il y a env. 20 ans, j'ai entendu M. Le Jan, alors curé
à Penvénan, dire en chaire qu'il ne fallait pas aller [le dim.] de [la Pent.]
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à Penvénan, dire en chaire qu'il ne fallait pas aller le dim. de la Pent.
au pardon de S. [G.?] et qu'il ne donnerait l'absolution ni à ceux qui iraient
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au pardon de S. G. et qu'il ne donnerait l'absolution ni à ceux qui iraient
ni à leurs familles. il y a 14 ans passés de [illisible] j'ai entendu
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ni à leurs familles. Il y a 14 ans passés depuis la Pent. J'ai entendu
le meme M. Le Jan dire égalt en cahire qu'ayant [obtenu?]
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le même M. Le Jan dire égalt en chaire qu'ayant obtenu
l'autoris. de [M. Dup.?], le pardon se ferait à S. [G.] le dim.
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l'autoris. de [M. Dup.?], le pardon se ferait à S. G. le dim.
 
de la Pent., comme il avait eu lieu auparavant, mais que la
 
de la Pent., comme il avait eu lieu auparavant, mais que la
messe n'y serait dite que lorsqu'il y [aurait?] une [pierre?] consacrée.
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messe n'y serait dite que lorsqu'il y aurait une pierre consacrée.
   
 
3. Anne [Audren?] : lorsque j'étais âgée de 12 ou 13 ans, j'ai entendu
 
3. Anne [Audren?] : lorsque j'étais âgée de 12 ou 13 ans, j'ai entendu
dire à mon père et [à ma mère?] que l'île S. G. appart. a M. Dup.
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dire à mon père et à ma mère que l'île S. G. appart. a M. Dup.
 
Je ne sais s'ils entendaient parler de l'île ou de la chapelle.
 
Je ne sais s'ils entendaient parler de l'île ou de la chapelle.
C'est du temps, qu'a ma connaissance, du [moins?], on a commencé
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C'est du temps, qu'à ma connaissance du moins, on a commencé
a dire la messe dans la cap. de S. G. Je me rappelle que du temps du [Coléra?], Ms Le Jan et Duval, le 1er curé et le 2d [illisible]
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à dire la messe dans la chap. de S. G. Je me rappelle que du
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temps du Coléra, Ms Le Jan et Duval, le 1er curé et le 2d [vicaire ?]
de Penvéna, ont [béni?] la chapelle et le cimetière de S. G. et y ont
 
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de Penvénan, ont béni la chapelle et le cimetière de S. G. et y ont
dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était [illisible]
 
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dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était gouverneur
de la chapelle, c'est aussi à cette [illisible] fut placé dans
 
la chapelle [deux?] pierres consacrées, qui furent apportées chez
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de la chapelle ; c'est aussi à cette époque qu'il fut placé dans
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la chapelle deux pierres consacrées, qui furent apportées chez
mon père avant d'être mises dans la ch(elle). elles [venaient?] de
 
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mon père avant d'être mises dans la ch(elle). elles vinrent de
la paroisse et de la part de M. Le Jean et du [illisible] de la fabrique
 
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la paroisse et de la part de M. Le Jean et du tr de la fabrique.
 
Je vis moi-même ces deux pierres. C'était un nommé [illisible]
 
Je vis moi-même ces deux pierres. C'était un nommé [illisible]
qui les avaient portées à la maison, et qui enleva les [illisible]
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qui les avaient portées à la maison, et qui enleva les [ferrailles ?]
qui les entouraient. Ce fut un nommé [Lescup?], macon de
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qui les entouraient. Ce fut un nommé [Lescup?], maçon de
Plousgrescant qui placa ces pierres dans la chapelle ; mais
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Plousgrescant qui plaça ces pierres dans la chapelle ; mais
 
j'ignore par les ordres de qui. Je répète qu'elles furent
 
j'ignore par les ordres de qui. Je répète qu'elles furent
 
envoyées de la paroisse.
 
envoyées de la paroisse.

Version du 13 novembre 2018 à 13:18

Dépositions de témoins

1. Y. Guilou : il y a environ 16 ans j'ai entendu M. Le Jan curé de [Pen. ?], déf. à ses paroiss. d'aller au pard. de S. G. le dim. de la Pte. L'année d'après, il annonça égalt en chaire qu'il s'était entendu avec M. Dup. et qu'après les vêpres de Penvénan on dirait les Vêpres à la Ch. S. G. le dimanche de la Pentecôte, comme on l'avait fait précédemment, que quant à la messe, on [illisible] dite le lundi matin que quand il y aurait une pierre consacrée.

2. Ls Le Jeandet ; il y a env. 20 ans, j'ai entendu M. Le Jan, alors curé à Penvénan, dire en chaire qu'il ne fallait pas aller le dim. de la Pent. au pardon de S. G. et qu'il ne donnerait l'absolution ni à ceux qui iraient ni à leurs familles. Il y a 14 ans passés depuis la Pent. J'ai entendu le même M. Le Jan dire égalt en chaire qu'ayant obtenu l'autoris. de [M. Dup.?], le pardon se ferait à S. G. le dim. de la Pent., comme il avait eu lieu auparavant, mais que la messe n'y serait dite que lorsqu'il y aurait une pierre consacrée.

3. Anne [Audren?] : lorsque j'étais âgée de 12 ou 13 ans, j'ai entendu dire à mon père et à ma mère que l'île S. G. appart. a M. Dup. Je ne sais s'ils entendaient parler de l'île ou de la chapelle. C'est du temps, qu'à ma connaissance du moins, on a commencé à dire la messe dans la chap. de S. G. Je me rappelle que du temps du Coléra, Ms Le Jan et Duval, le 1er curé et le 2d [vicaire ?] de Penvénan, ont béni la chapelle et le cimetière de S. G. et y ont dit ensuite deux messes ; à cette époque mon père était gouverneur de la chapelle ; c'est aussi à cette époque qu'il fut placé dans la chapelle deux pierres consacrées, qui furent apportées chez mon père avant d'être mises dans la ch(elle). elles vinrent de la paroisse et de la part de M. Le Jean et du tr de la fabrique. Je vis moi-même ces deux pierres. C'était un nommé [illisible] qui les avaient portées à la maison, et qui enleva les [ferrailles ?] qui les entouraient. Ce fut un nommé [Lescup?], maçon de Plousgrescant qui plaça ces pierres dans la chapelle ; mais j'ignore par les ordres de qui. Je répète qu'elles furent envoyées de la paroisse.