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Version du 11 novembre 2018 à 11:40
52 pouvait incendier la maison.
L'aire de la maison était balayée avec des balais de genêt auxquels on coupait [illisible] les [barbes?], sinon cela portait malheur.
La porte se fermait avec une flotten, une barre de bois qui se poussait le jour dans un trou du mur et que l'on [illisible] le jour en la tirant, et en la faisant pénétrer dans un autre trou percé dans l'autre paroi. — Histoire de la repasseuse qui s'était attardée au travail jusqu'après minuit. Le diable frappe à la porte « Ouvrez-moi ». — Pas à cette heure, dit la femme en sautant au lit sans même se déshabiller. — Alors le diable appelle la flotten : « ouvre-moi... Je ne peux : on a fait le signe de la croix sur moi » — Il s'adresse au balai : — Impossible ! On m'a coupé le bec » [Marie?] Yvonne Le Flem)
Pour manger, il n'y avait que des écuelles.
Pour manger la soupe il y avait une énorme gogloa (louche) en bois. — Dès qu'on a fini avec le trépied, il ne faut pas le laisser sur ses pieds mais le renverser.
Aux poutres étaient suspendus le lard (costeenno kig-sal) les deux flancs du cochon séparés et [réunis?] tout ensemble par des morceaux de bois ; des dépouilles (les membres) des cochons ; des [tourtes d'oing?], des paquets d'oignons, des viandes de [vache?] saumurées. On tue le cochon