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corps de chemise ». C'était un fier
 
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gaillard. Mais le capitaine américain
 
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du lieutenant était la dernière goutte qui
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tombé sur le pont, a demi gelé, puis
 
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la neige l'avait couvert, et, quand on
 
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glace : naturellement il était mort.
 
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Ces campagnes de la baleine étaient
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assez près de la bête, pour pouvoir
 
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la harponner. Pour cela on quittait le
 
la harponner. Pour cela on quittait le

Version du 31 octobre 2018 à 20:33

125 corps de chemise ». C'était un fier gaillard. Mais le capitaine américain n'en persista pas moins. La mort du lieutenant était la dernière goutte qui fait déborder le vase. Avant déjà, un matelot, pendant le quart de nuit, était tombé sur le pont, a demi gelé, puis la neige l'avait couvert, et, quand on s'aperçut de sa disparition, il fallut l'aller chercher sous un monceau de glace : naturellement il était mort.

[Ces?] campagnes de la baleine étaient autrement tragiques que celles de Terre- Neuve ou d'Islande. Il fallait s'approcher assez près de la bête, pour pouvoir la harponner. Pour cela on quittait le navire, comme font les doris de Terre- Neuve. On partait à la découverte dans des baleinières : chaque baleinière était montée par six hommes d'équipage. Un des hommes, à l'arrière, gouvernait : un autre, le harponneur, se tenait à l'avant : les quatre autres ramaient. Dès qu'on avait aperçu le monstre, on faisait force rames pour l'aborder en flanc, de façon à n'être pas éventés par lui. Quand on en était à trois ou quatre mètres, le harponneur plantait son harpon. Si le sang jaillissait, c'est que le harpon avait bien mordu. On laissait aussitôt se dévider la corde du