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A la descente nous nous arrêtons dans un petit rancho, sorte de magasin d'accessoires pour danseurs et déguisés, où le président municipal fait danser un indien au son d'une marimba primitive formée de calebasses. |
A la descente nous nous arrêtons dans un petit rancho, sorte de magasin d'accessoires pour danseurs et déguisés, où le président municipal fait danser un indien au son d'une marimba primitive formée de calebasses. |
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Encore un tour dans le marché, si coloré, il faut déjeuner et partir (15h). |
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Lente montée de la route dans les bois. Nous dépassons des files d'indiens qui quittent le marché, portant des charges étonnantes dans des caisses à claire-voie retenues par le front, suivant l'habitude. Certains portent ainsi des lits, des piles de chaises ou de meubles légers qui forment de véritables édifices ! Bien peu on un âne ou un mulet et ordinairement ceux-ci ne passent pas le costume indigène : ce sont sans doute des "ladinos" et métis. |
Lente montée de la route dans les bois. Nous dépassons des files d'indiens qui quittent le marché, portant des charges étonnantes dans des caisses à claire-voie retenues par le front, suivant l'habitude. Certains portent ainsi des lits, des piles de chaises ou de meubles légers qui forment de véritables édifices ! Bien peu on un âne ou un mulet et ordinairement ceux-ci ne passent pas le costume indigène : ce sont sans doute des "ladinos" et métis. |
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On découvre parfois de beaux horizons de barrancas et sierras boisées, bientôt le lac Atitlan, au loin, serti dans des volcans verdoyants. |
On découvre parfois de beaux horizons de barrancas et sierras boisées, bientôt le lac Atitlan, au loin, serti dans des volcans verdoyants. |
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On monte toujours dans la montagne, bientôt dans un léger brouillard où se dressent des arbres énormes, parfois tout tordus, parfois morts et squelettiques comme dans une sorte de forêt vierge, où nous cheminons un moment à pied à la faveur d'un arrêt du "camion". |
On monte toujours dans la montagne, bientôt dans un léger brouillard où se dressent des arbres énormes, parfois tout tordus, parfois morts et squelettiques comme dans une sorte de forêt vierge, où nous cheminons un moment à pied à la faveur d'un arrêt du "camion". |
Version actuelle datée du 17 octobre 2018 à 14:46
128 des cierges. Un vieil indien en turban rouge, veste courte et culotte noires, entretient un feu, se prosterne et encense. D'autres indiens assistent à la cérémonie (et ne tardent pas à s'en aller après notre arrivée). Le scène est vraiment impressionnante et évoque d'autres âges, l'époque des pierres levées... A la descente nous nous arrêtons dans un petit rancho, sorte de magasin d'accessoires pour danseurs et déguisés, où le président municipal fait danser un indien au son d'une marimba primitive formée de calebasses. Encore un tour dans le marché, si coloré, il faut déjeuner et partir (15h).
Lente montée de la route dans les bois. Nous dépassons des files d'indiens qui quittent le marché, portant des charges étonnantes dans des caisses à claire-voie retenues par le front, suivant l'habitude. Certains portent ainsi des lits, des piles de chaises ou de meubles légers qui forment de véritables édifices ! Bien peu on un âne ou un mulet et ordinairement ceux-ci ne passent pas le costume indigène : ce sont sans doute des "ladinos" et métis. On découvre parfois de beaux horizons de barrancas et sierras boisées, bientôt le lac Atitlan, au loin, serti dans des volcans verdoyants.
On monte toujours dans la montagne, bientôt dans un léger brouillard où se dressent des arbres énormes, parfois tout tordus, parfois morts et squelettiques comme dans une sorte de forêt vierge, où nous cheminons un moment à pied à la faveur d'un arrêt du "camion".