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D'après ce que me dit Deleuze, la décadence des propriétaires est presque aussi complète (je ne les connais pas car ils sont en ce moment à Ixmiquilpan, dans le pueblo, la femme [illisible], une pure indienne qui abuse de son personnel, les fils et les filles paresseux et mal mariés laissent aller...alors que le grand père avait "bâti" la hacienda, dit-on.
 
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qu'elle assumait...
On en imagine pas moins cette hacienda au temps de sa splendeur, qui n'a pas été chantée dans ce pays, avec qqch. de très méditerranéen qui doit évoquer les grandes "villas" semi-fortifiées du bas- empire.
 
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L'après-midi longue randonnée dans ces "cerros" et ces steppes calcaire couverts de cactus de différentes espèces. Avec les pluies ce pays est assez vert, mais il redeviendra sec et ocre en hiver. On suit à flanc une profonde barraco qui s'élargit en plaine de maïs et de petites maisons. Plusieurs églises isolées sont en vue. Nous suivons une ancienne canalisation d'eau (abandonnée comme tant d'aqueducs un peu partout).
 
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Des sierras à l'horizon.
 
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Domingo 7 septembre
 
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Départ. San Juan el Rio aux vieilles maisons et aux vieilles arcades.
 
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Queretaro avec qq. aspects de petite ville espagnole. Les Duran à la fabrien Herculos.
 
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maisons et aux vieilles arcades. Queretaro
Retour à 4h, photo d'une vieille hacienda fortifiée uniquement percée de meurtrière (ou plutôt 2 corps de bâtiments : bergerie ? cf. les "granjas cister).
 
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avec qq. aspects de petite ville espagnole. Les
Puis prend route de l'Acambay sous un orage avec la haute sierra sombre et boisée à droite, tragique. En contre bas une grosse hacienda (?) sur plan exactement carré, flanquée de tourelles, impressionnante dans sa sérénité de château-fort. Sur une colline la dominant une chapelle et des édifices dans les arbres.
 
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Duran à la fabrica Hercules.
Une grande montée, la descente sur une plaine (Rollo 5)
 
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Version actuelle datée du 9 octobre 2018 à 15:37

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qu'elle assumait...

D'après ce que me dit Deleuze, la décadence des propriétaires est presque aussi complète (je ne les connais pas car ils sont en ce moment à Ixmiquilpan - dans le pueblo -) la femme [De Ma ?], une pure indienne qui abuse de son personnel, les fils et les filles paresseux et mal mariés laissent aller... alors que le grand père avait "bâti" la hacienda, dit-on.

On en imagine pas moins cette hacienda au temps de sa splendeur - qui n'a pas été chantée dans ce pays - avec qqch. de très méditerranéen qui doit évoquer les grandes "villas" semi-fortifiées du bas- empire.

L'après-midi longue randonnée dans ces "cerros" et ces steppes calcaire couverts de cactus de différentes espèces. Avec les pluies ce pays est assez vert, mais il redeviendra sec et ocre en hiver. On suit à flanc une profonde barranca qui s'élargit en plaine de maïs et de petites maisons. Plusieurs églises isolées sont en vue. Nous suivons une ancienne canalisation d'eau (abandonnée comme tant d'aqueducs un peu partout).

Des sierras à l'horizon.

Domingo 7 septembre

Départ. San Juan el Rio aux vieilles maisons et aux vieilles arcades. Queretaro avec qq. aspects de petite ville espagnole. Les Duran à la fabrica Hercules.

Retour à 4h, photo d'une vieille hacienda fortifiée uniquement percée de meurtrière (ou plutôt 2 corps de bâtiments : bergerie ? cf. les "granjas cister). Puis pr route de Acambay sous un orage avec la haute sierra sombre et boisée à droite, tragique. En contrebas une grosse hacienda (?) sur plan exactement carré, flanquée de tourelles, impressionnante dans sa sévérité de château-fort. Sur une colline la dominant une chapelle et des édifices dans les arbres.

Une grande montée, la descente sur une plaine

[en marge rollo 5]