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(Je préviens la personne qui lira ce travail
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(Je préviens la personne qui lira ce travail qu'ignorant des choses et du langage [...] lecture, je compte sur vous pour rectifier ce qu'il y aura d'incorrect dans mon langage et mes appréciations)
qu'ignorant des choses et [...]
 
lecture, je compte sur vous pour rectifier
 
ce qu'il y aura d'incorrect dans mon langage et mes
 
appréciations)
 
 
Donc pour [...] à tous ces inconvénients
 
Donc pour [...] à tous ces inconvénients
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1° D'autres colonnes très minces furent accolées aux piliers anciens de la nef, afin de supporter les arceaux légers destinés eux-mêmes à fortifier les murs sur les quelles ils furent appliqués. Ces additions ne purent s'accomplir sans donner lieu à quelques irrégularités de taille des mutilations dans les bases et les chapiteaux surajoutés, dont les marques sont très visibles et trahissent un ouvrage postérieur.
1° D'autres colonnes très minces furent
 
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2° Dans d'autres parties trop faibles aussi qu'on ne pouvait fortifier par l'accession de colonnes nouvelles, on fut obligé de doubler les murs eux-mêmes, par un revêtement de pierres à appareil régulier, ou par de la maçonnerie, ce travail est très visible en beaucoup d'endroits et mérité d'être remarqué.
accolées aux piliers anciens de la nef, afin de
 
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3° Mais ce n'est pas seulement dans les nefs qu'on a du recourir à ce procédé. Les voûtes du transept eurent aussi à subir leur transformation de bois ou béton, voûtes d'une épaisseur assez considérable. On pour supporter cette lourde maçonnerie on a du fortifier aussi les murailles sur lesquelles elles étaient appuyées. On a aussi doublé celles-ci, et le surcroît d'épaisseur qui leur a été donné (et le rétrécissement de la voûte en bois primitive) ont exigé le remaniement des mordillons ou corbeaux qui soutenaient celle-ci.
supporter les arceaux légers destinés eux-mêmes
 
à fortifier les murs sur les quelles ils furent
 
appliqués. Ces additions ne purent s'accomplir
 
sans donner lieu à quelques irrégularités de
 
taille des mutilations dans les bases et les
 
chapiteaux surajoutés, dont les marques sont
 
très visibles et trahissent un ouvrage
 
postérieur.
 
2° Dans d'autres parties trop faibles aussi
 
qu'on ne pouvait fortifier par l'accession de
 
colonnes nouvelles, on fut obligé de doubler
 
les murs eux-mêmes, par un revêtement de
 
pierres à appareil régulier, ou par de la
 
maçonnerie, ce travail est très visible en beaucoup
 
d'endroits et mérité d'être remarqué.
 
3° Mais ce n'est pas seulement dans les
 
nefs qu'on a du recourir à ce procédé. Les
 
voûtes du transept eurent aussi à subir
 
leur transformation de bois ou béton,
 
voûtes d'une épaisseur assez considérable. On
 
pour supporter cette lourde maçonnerie
 
on a du fortifier aussi les murailles sur lesquelles
 
elles étaient appuyées. On a aussi doublé
 
celles-ci, et le surcroît d'épaisseur qui leur
 
a été donné (et le rétrécissement de la voûte en bois primitive) ont exigé le remaniement des
 
mordillons ou corbeaux qui soutenaient celle-ci.
 

Version actuelle datée du 3 octobre 2018 à 13:53

(Je préviens la personne qui lira ce travail qu'ignorant des choses et du langage [...] lecture, je compte sur vous pour rectifier ce qu'il y aura d'incorrect dans mon langage et mes appréciations) Donc pour [...] à tous ces inconvénients 1° D'autres colonnes très minces furent accolées aux piliers anciens de la nef, afin de supporter les arceaux légers destinés eux-mêmes à fortifier les murs sur les quelles ils furent appliqués. Ces additions ne purent s'accomplir sans donner lieu à quelques irrégularités de taille des mutilations dans les bases et les chapiteaux surajoutés, dont les marques sont très visibles et trahissent un ouvrage postérieur. 2° Dans d'autres parties trop faibles aussi qu'on ne pouvait fortifier par l'accession de colonnes nouvelles, on fut obligé de doubler les murs eux-mêmes, par un revêtement de pierres à appareil régulier, ou par de la maçonnerie, ce travail est très visible en beaucoup d'endroits et mérité d'être remarqué. 3° Mais ce n'est pas seulement dans les nefs qu'on a du recourir à ce procédé. Les voûtes du transept eurent aussi à subir leur transformation de bois ou béton, voûtes d'une épaisseur assez considérable. On pour supporter cette lourde maçonnerie on a du fortifier aussi les murailles sur lesquelles elles étaient appuyées. On a aussi doublé celles-ci, et le surcroît d'épaisseur qui leur a été donné (et le rétrécissement de la voûte en bois primitive) ont exigé le remaniement des mordillons ou corbeaux qui soutenaient celle-ci.