Différences entre versions de « 8:106:10435 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
(Page créée avec « Poitiers, le 28 février 1888 Mon cher Lieutenant et très honoré collègue Comme vous le souhaitiez, le ministère a fait dégager entièrement des maçonneries la borne... »)
 
 
(3 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
Poitiers, le 28 février 1888
 
Poitiers, le 28 février 1888
 
Mon cher Lieutenant et très honoré collègue
 
Mon cher Lieutenant et très honoré collègue
Comme vous le souhaitiez, le ministère a fait dégager entièrement des maçonneries la borne milliaire qui se trouvait dans le petit caveau de l’Eglise St Hilaire. Je viens de la voir : mais, hélas ! Elle ne vous fournira, je crois, aucun élément important, car on ne lit en plus de ce que vous aviez relevé que DII, comme l’indique le petit croquis au crayon et à l’encre que je vous envoie
+
Comme vous le souhaitiez, le ministère a fait dégager entièrement des maçonneries la borne milliaire qui se trouvait dans le petit caveau de l’Eglise St Hilaire. Je viens de la voir : mais, hélas ! Elle ne vous fournira, je crois, aucun élément important, car on ne lit en plus de ce que vous aviez relevé que DII, comme l’indique le petit croquis au crayon et à l’encre que je vous envoie.
  +
Il en est heureusement une autre également très mutilée qui avait été comme tous les milliaires du Poitou, creusée en sarcophage, et qui señrt aujourd’hui d’auge À cochons. Elle existe [?] à Antigny, chez MR Châtenet, ancien maire, provient de la grande nécropole que j’ai analysée en partie en septembre 1883 mais en avait été extrait longtemps avant cette époque et a un texte qui m’est inconnu.

Version actuelle datée du 7 juillet 2018 à 20:43

Poitiers, le 28 février 1888 Mon cher Lieutenant et très honoré collègue Comme vous le souhaitiez, le ministère a fait dégager entièrement des maçonneries la borne milliaire qui se trouvait dans le petit caveau de l’Eglise St Hilaire. Je viens de la voir : mais, hélas ! Elle ne vous fournira, je crois, aucun élément important, car on ne lit en plus de ce que vous aviez relevé que DII, comme l’indique le petit croquis au crayon et à l’encre que je vous envoie. Il en est heureusement une autre également très mutilée qui avait été comme tous les milliaires du Poitou, creusée en sarcophage, et qui señrt aujourd’hui d’auge À cochons. Elle existe [?] à Antigny, chez MR Châtenet, ancien maire, provient de la grande nécropole que j’ai analysée en partie en septembre 1883 mais en avait été extrait longtemps avant cette époque et a un texte qui m’est inconnu.