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La société des antiquaires de l’Ouest va me reprocher de n’avoir jamais fait connaître le résultat de mes 1ères fouilles, mais vous savez que c’est vous le coupable, qui avez étouffé mon pauvre compte rendu. Je sais bien qu’il ne devait pas être dans le style voulu pour être goûté par l’illustre société, c’est pourquoi je n’ai jamais beaucoup insisté. Soit donc dit sans reproches, mais je crois que l’affaire que je vous signale en vaut mieux la peine. |
La société des antiquaires de l’Ouest va me reprocher de n’avoir jamais fait connaître le résultat de mes 1ères fouilles, mais vous savez que c’est vous le coupable, qui avez étouffé mon pauvre compte rendu. Je sais bien qu’il ne devait pas être dans le style voulu pour être goûté par l’illustre société, c’est pourquoi je n’ai jamais beaucoup insisté. Soit donc dit sans reproches, mais je crois que l’affaire que je vous signale en vaut mieux la peine. |
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− | Donnez-en le mérite à M. le marquis de |
+ | Donnez-en le mérite à M. le marquis de L’Estrade ; c’est lui le propriétaire. A tout seigneur tout honneur. |
Recevez, mon Révérend Père, mes respectueux hommages et l’assurance de mon plus entier dévouement et de mon affectueux souvenir. |
Recevez, mon Révérend Père, mes respectueux hommages et l’assurance de mon plus entier dévouement et de mon affectueux souvenir. |
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Blumereau |
Blumereau |
Version du 5 juillet 2018 à 14:13
La société des antiquaires de l’Ouest va me reprocher de n’avoir jamais fait connaître le résultat de mes 1ères fouilles, mais vous savez que c’est vous le coupable, qui avez étouffé mon pauvre compte rendu. Je sais bien qu’il ne devait pas être dans le style voulu pour être goûté par l’illustre société, c’est pourquoi je n’ai jamais beaucoup insisté. Soit donc dit sans reproches, mais je crois que l’affaire que je vous signale en vaut mieux la peine. Donnez-en le mérite à M. le marquis de L’Estrade ; c’est lui le propriétaire. A tout seigneur tout honneur. Recevez, mon Révérend Père, mes respectueux hommages et l’assurance de mon plus entier dévouement et de mon affectueux souvenir. Blumereau