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la charrette à demi basculée en arrière. - Les
 
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boutiques creusées dans le roc du Pausilippe : pas
 
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d'autre ouverture ni d'éclairage que la porte [illisible]
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sur la rue. Des ristorante partout. Et de petites
 
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boutiques vendant les deux monopoles : sel et tabac, Sale
 
boutiques vendant les deux monopoles : sel et tabac, Sale

Version actuelle datée du 15 juin 2018 à 13:41

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[indiqué sur la page de l'agenda portant la date du dimanche 29 mars]

Nous ns réveillons à Naples, sans avoir vu l'entrée de la Baie. Mary m'appelle pour contempler le Vésuve. Sa double cime Ménéhomesque se dresse au S. sur un ciel un peu nuageux. Des fumées en apparence immobiles le couronnent de leurs volutes. La ville escalade les hauteurs semble toute en terrasses, par instant, sculptée dans le roc calcaire. Nous descendons à 81/2 et prenons une auto qui le long de l'admirable courbe des quais ns conduit d'abord à l'Aquarium, puis au dela nous fait grimper le magnifique promontoire du Pausilippe à l'opposé du Vésuve. Tout le long de la rampe sinueuse, aux pins parasols magnifiqt déployés sur la mer, il n'est question que de sirènes. Par ex. le ristorante della Sirene. Nous poussons jusque par derrière le promontoire, puis revenons à travers des multiples terrasses de la ville jusqu'au Musée. Là, une course, mais dont plusieurs choses me restent : surtout les bronzes de Pompéi, et l'exquis buste de Psyché au nez peut-être trop romain, et mon compatriote, le guerrier Gaulois mourant avec une blessure dans le dos et une autre sous le sein droit. - La vile très gaie, dans son réveil dominical : des charrettes de campagne pleines de légumes, certaines attelées de 3 chevaux avec les brancards en l'air sur le cheval du milieu, à sous-ventrière très lâche, la charrette à demi basculée en arrière. - Les boutiques creusées dans le roc du Pausilippe : pas d'autre ouverture ni d'éclairage que la porte boutiquière sur la rue. Des ristorante partout. Et de petites boutiques vendant les deux monopoles : sel et tabac, Sale e tabacchi. - Du Pausilippe, la vue sur la baie, si belle. Capri, juste en face avec sa très haute colline, rappelant un peu, mais en plus loin, l'ile Tristan ds la Baie de Douarnenez. Une petite gare dans la haute ville, avec ces noms enchanteurs : Procida, Ischia ... Gd nuage noir sur la ville qd nous entrons au Musée, mais dissipé quand ns sortons. Les douaniers, avec leurs petits chapeaux tyroliens, ornés d'une plume. - Le yacht du roi d'Angleterre est mouillé en face de nous, près du quai qui nous fait face vers le Vésuve. J'aurais voulu aller au Tombeau de Virgile, mais trop loin. Vu son nom, Virgilis, sur une enseigne de magasin. - Pour sortir, nous passons entre Capri au S. et Ischia au N.. Procida entre celle-ci et la terre. La côte, grandes falaises à pic.